Qu’est-ce qui fait ainsi courir les femmes et les hommes vers des responsabilités de plus en plus intenables ? Un texte de Xénophon éclaire sur le rôle essentiel que joue le regard des autres.
Une personne sur trois n’ose pas se tourner vers le fournisseur en cas de difficultés. En cause : le sentiment de honte, mais aussi les doutes sur les capacités des interlocuteurs à les résoudre.
Clé dans la transformation des entreprises en faveur du changement climatique, la transparence financière a progressé, mais inégalement et de manière insuffisante.
Comment comprendre qu’une pratique si difficile à définir se voie pourtant strictement cadrée ? Derrière une relation d’aide, sans doute faut-il aussi considérer la présence d’un échange marchand…
Les solutions qui reposent sur la donnée et les algorithmes permettent aujourd’hui d’optimiser la recherche de nouveaux partenaires et la relation avec les fournisseurs. Mais qu’en sera-t-il demain ?
Les impératifs économiques ne suffisent pas à expliquer la poursuite des activités du cimentier entre 2011 et 2014. Des facteurs liés à l’organisation de l’entreprise ont également pu peser.
Les redressements judiciaires liés à la levée des mesures d’aide annoncée par le gouvernement entraîneront des coûts à la fois directs et indirects variables selon le type d’entreprise concernée.
Malgré une plus grande reconnaissance du problème par les entreprises, les biais inconscients lors de l’embauche favorisent encore et toujours les hommes.
Les fonds propres des banques et les dépenses de l’État rendent largement surmontables les défauts sur les prêts garantis par l’État, qui auront globalement rempli leur rôle avec succès.
Les scandales des moteurs truqués interrogent la marge de manœuvre laissée aux dirigeants et invitent, peut-être, à renforcer l’exercice par les conseils d’administration de leurs contre-pouvoirs.
Le climat des affaires semble désormais très favorable à la croissance et aux États-Unis. La reprise se trouve cependant menacée par des tensions sur les chaînes d’approvisionnement et sur les prix.
Entre le télétravail de moins en moins populaire et les inconvénients du bureau révélés par les confinements, les tiers-lieux pourraient s’avérer un bon compromis. Ils restent néanmoins méconnus.
Martin Chadoin, Université du Québec à Montréal (UQAM) et Elise Ledoux, Université du Québec à Montréal (UQAM)
Le télétravail n’est pas qu’une rupture du cadre de travail classique, c’est une transformation radicale de la nature même du travail. Les entreprises devront en tenir compte pour s’adapter.
L’Union européenne a proposé en mars dernier de rendre juridiquement contraignantes des mesures qui ont fait leurs preuves, même si, seules, celles-ci ne lèveraient pas toutes les barrières.
Le statut apparu avec la loi Pacte donnerait aux entreprises un rôle politique qu’elles ne devraient pas avoir, leur vocation sociale étant avant tout de réaliser des profits… et de payer des impôts !
Les grandes entreprises ont plus de facilité que les plus petites à atteindre la parité hommes-femmes sur leur conseil d’administration. Et celles qui se dotent de cibles précises font mieux.
Un bilan de la réforme de l’imposition des entreprises de 2011 montre que la défiscalisation des dividendes augmente la valorisation des sociétés mais n’a pas d’effet sur l’investissement.
Les données disponibles sur les réseaux sociaux peuvent permettre aux clubs de distinguer les fans qui peuvent revenir d’eux-mêmes de ceux vers lesquels diriger les efforts de communication.
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)