Un travail de recherche rappelle l’importance de créer une structure pour superviser les relations entre des investisseurs qui peuvent avoir des intérêts divergents.
Le sommet pour un « nouveau pacte financier mondial », vise à répondre aux besoins des pays les plus vulnérables face au dérèglement climatique, pays qui sont aussi les plus endettés.
Partage de la valeur trop favorable aux actionnaires, difficultés conjoncturelles, erreurs stratégiques… le sort du groupe est aujourd’hui entre les mains du parquet national financier.
Depuis mi-mars, les marchés financiers américains connaissent des mouvements inhabituels. En cause : les investisseurs qui parient sur une aggravation des difficultés du secteur bancaire.
Une étude montre que la valeur d’une l’action augmente d’environ 4,75 % en moyenne après une prise de participation minoritaire qui vise à influencer la gouvernance de l’entreprise.
La généralisation des modèles fiscaux français et britannique ainsi que la taxation des activités de trading haute fréquence génèreraient d’importantes ressources financières pour les États.
La recherche montre que les arguments en faveur d’un alourdissement de la fiscalité lorsque les entreprises rachètent leurs propres parts reposent sur plusieurs idées reçues.
Régis Marodon, Agence française de développement (AFD)
Respecter les engagements d’aide climatique pris au bénéfice des pays les plus pauvres ne pourrait-il pas aller de pair avec le verdissement chaque année de 2 % des actifs financiers mondiaux ?
Des initiatives, promues notamment par le FMI et la Banque mondiale, tentent de stimuler les appétits des investisseurs privés pour les « green bonds ».
Les prévisions des producteurs d’information constituent des indicateurs avancés des crises qui peuvent survenir. La complexité des activités bancaires complique toutefois leur tâche.
Les déboires de la Silicon Valley Bank et du Credit Suisse s’expliquent par leurs liens avec les banques « parallèles » non soumises à la réglementation qui ont conduit à détériorer leur solvabilit
Aymen Turki, ESC Clermont Business School dan Hoang Dang, ESC Clermont Business School
L’engouement pour les start-up de la finance a connu un coup d’arrêt l’an dernier, ce qui les incite à se tourner vers d’autres leviers de développement comme la « finance embarquée ».
Les lois votées sous le mandat de Donald Trump ont exclu les deux tiers des banques des tests de résilience annuels de la Réserve fédérale. Parmi elles, la Silicon Valley Bank.
Avec la pénurie de main-d’œuvre, la rétention au travail des employés plus âgés est essentielle. Pour ce faire, il importe de satisfaire leurs besoins de compétences, d’autonomie et de relations.
Le respect des ratios de solidité bancaire exigé par les autorités n’a pas empêché la chute de la banque suisse, rachetée en urgence par son homologue UBS le 19 mars dernier.
Même si des questions se posent en termes d’efficacité de la règlementation bancaire, la réactivité des autorités et les mécanismes de garantie des dépôts protègent aujourd’hui les marchés d’un krach.
Inquiets pour leur pouvoir d’achat, les ménages s’intéressent à des placements financiers à plus fort rendement mais dont l’efficacité dans une stratégie d’épargne de long terme reste à démontrer.
La fonte soudaine de la valeur du groupe indien fondé par Gautam Adani devrait inciter les investisseurs et les autorités du pays à surveiller davantage les manipulations des cours de bourse.
L’Argentine a affiché en 2022 une inflation de près de 100 %. Des mesures prises en concertation avec le FMI visent à la ramener à un niveau plus acceptable, mais la situation reste très fragile.
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)
Chargé de recherche, Fondation pour les Etudes et Recherches sur le Développement International (FERDI); Chercheur associé au CERDI (UMR UCA-CNRS-IRD), Université Clermont Auvergne (UCA)