Pierre Omaly, Centre national d’études spatiales (CNES)
Comment garantir un accès à l’espace sans danger ? Alors que le nombre de débris en orbite augmente toujours plus, de premières missions spatiales ont été lancées pour en récupérer.
L’exploration spatiale n’est pas un gaspillage de ressources, mais permet des avancées technologiques et médicales, une surveillance climatique et une inspiration éducative bénéfique pour les jeunes.
Le secteur spatial a connu un vaste bouleversement depuis le début des années 2000 avec l’arrivée massive d’acteurs privés. Comment organiser ce marché pour éviter les externalités négatives ?
La coopération entre concurrents pour mettre au point un système de géolocalisation européen a notamment fonctionné grâce à la supervision de l’Agence spatiale européenne, montre une étude.
Après la Seconde Guerre mondiale, les chercheurs français ont mis en place de nombreuses coopérations internationales pour développer le programme spatial.
Si quelque 7 millions de personnes peuvent aujourd’hui s’offrir un vol suborbital, et bientôt davantage avec la baisse des coûts d’accès à l’espace, le tourisme spatial de masse n’est pas pour demain.
Dans les dix prochaines années, l’essor des petits satellites entraînera un changement de paradigme dans le secteur, notamment en termes de collecte et de traitement des données.