Une recherche montre qu’un même facteur génère de la satisfaction au travail et une impression de déplaire à son supérieur qui pousse au départ : le stress.
Un travail de recherche montre notamment que ceux qui pourraient lancer l’alerte ne réalisent pas toujours le caractère non éthique de la situation ou n’osent pas franchir le pas.
Les managers, qui ont du mal à identifier les réseaux qui se constituent entre employés, peuvent établir une cartographie pour favoriser la créativité et l’inclusion dans leur organisation.
La notion de « haut potentiel intellectuel », qui désigne un quotient intellectuel élevé, s’impose dans le débat public mais ne recoupe aucune réalité validée par les scientifiques.
Un travail de recherche portant sur les Compagnons du devoir montre notamment des attentes différentes chez les jeunes décrocheurs dans les zones rurales et urbaines.
Avec des méthodes qui leur sont propres, les praticiens de cette discipline née en Californie parviennent à apaiser les tensions au bout de six semaines en moyenne.
L’organisation spatiale et l’animation de l’espace de travail partagé entre collaborateurs de différentes entreprises constituent des clés pour enclencher une dynamique qui facilite l’innovation.
Des études en laboratoire montrent que la propension à tricher dans les affaires serait notamment liée au genre et qu’elle est plus forte chez les hommes que chez les femmes.
Les patrons de petites entreprises apprécient particulièrement lorsque leurs proches leur apportent une aide émotionnelle, montre un récent travail de recherche.
Les organisations se réfèrent de plus en plus à une vision légaliste vidant l'éthique de sa substance, au détriment d'une approche moraliste pourtant plus à même d'apporter des réponses aux problèmes.
Dans les Ehpad ou les établissements spécialisés, les salariés demandent davantage d’écoute de leurs supérieurs, qui doivent en réponse développer leurs compétences en communication.
L’exercice du pouvoir du président ukrainien depuis le début de l’invasion russe partage des caractéristiques communes avec les principes du « servant leadership » mis en évidence par la recherche.
Des outils comme la communication ou la formation devraient limiter les craintes et concrétiser le potentiel des nouvelles technologies en termes de bénéfices attendus.
En renversant la perspective sur les organisations qui cherchent à autonomiser les équipes se dessine les contours de principes clés dans une adoption réussie de ce modèle.
Un récent livre revient sur la genèse des pratiques de contrôle nées de la Seconde Guerre mondiale et qui restent encore en vigueur aujourd’hui dans les organisations.
Et si la « corporate mindfulness » n’était qu’un outil au service de la performance économique ? Cette question fait écho aux premiers débats autour de la responsabilité sociale des entreprises.
Certaines collectivités territoriales françaises emboîtent le pas de leurs homologues anglo-saxonnes dans des pratiques qui visent à renforcer la collaboration, l’anticipation et la transparence.
Les dysfonctionnements pourraient être corrigés par une meilleure prise en compte des informations remontées par les patients et leurs familles, comme le suggère la recherche.
Plusieurs catégories de salariés font état de niveaux d’intensité du travail plus élevés. Une tendance qui contraint la gestion des ressources humaines à revoir certaines pratiques.
Un ouvrage récent tente de répondre à la question à partir de nombreux cas. Ils montrent qu’une simple transposition reste inadéquate, les bénévoles s’engageant notamment en quête de reconnaissance.
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)