La région ouest-africaine connaît des défis pressants à relever en matière de sécurité alimentaire et nutritionnelle, de lutte contre la pauvreté rurale et de recherche d’une agriculture durable.
Notre vision des plantes a considérablement évolué ces dernières années et de nombreuses recherches se consacrent désormais à l’étude de leur sensibilité.
La recherche s’intéresse généralement aux organisations qui se trouvent dans des situations qui mêlent coopération et compétition. Mais l’étude au niveau de l’individu est aussi riche d’enseignements.
Les microorganismes mycorhiziens, naturellement présents dans nos sols, représentent une réelle alternative biologique à la problématique des fertilisants chimiques.
Julien Troudet, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) and Frédéric Legendre, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
La biodiversité est vaste. Mais certaines espèces « charismatiques » sont plus étudiées que d’autres. En sont victimes les insectes notamment, pourtant essentiels aux écosystèmes.
Le bois d’agar est si précieux qu’il met en danger l’espèce d’arbre dont il est issu. En Guyane, des chercheurs observent comment se forme ce bois pour tenter de mieux le protéger.
Le projet MetaSUB vise à caractériser certains usagers des transports en commun qui passent les portillons sans payer… : les microorganismes, bactéries, virus et champignons.
Un champignon invasif menace les frênes européens, provoquant des mortalités massives chez les jeunes sujets. Mais des pistes existent pour assurer l’avenir des frênaies.
Que ce soit en libérant des composés chimiques ou en communiquant via les champignons du sol forestier, les plantes s’échangent des informations. Est-ce pour autant une forme de communication ?