Didier Chaudet, Institut français d'études sur l'Asie centrale
Loin d’être une force extérieure ou marginale, les talibans sont une force politique et militaire bien enracinée, notamment dans l’Afghanistan rural, conservateur, principalement en zone pachtoune.
Le 22 avril 2019, près de l'église Saint-Sébastien, à Negombo (Sri Lanka), visée par une attaque terroriste la veille.
Jewel Samad / AFP
La série d’explosions meurtrières visant des églises et hôtels, lors de ce dimanche de Pâques, ouvre un nouveau chapitre dans les tensions communautaires de l’île.
Un garçon soudanais brandit le drapeau national après que le président Omar el-Béchir a été démis. Khartoum, la capitale du Soudan, le 12 avril 2019.
AFP/EBRAHIM HAMID
Désormais incarcéré, le président soudanais Omar Al-Bachir avait réussi à surmonter une série de crises au prix du verrouillage du pays. De nombreux défis attendent ses successeurs.
Rassemblement contre Khalifa Haftar sur la place des Martyrs de Tripoli, le 12 avril 2019.
Mahmud Turkia/AFP
Wolfram Lacher, German Institute for International and Security Affairs
Pourquoi Khalifa Haftar et les gouvernements occidentaux se sont trompés sur la réaction que la tentative de prise de Tripoli allait susciter dans l’ouest du pays.
Caroline Hussler, « Manager les tensions dans l'entreprise », dans « Fenêtres ouvertes sur la gestion ».
Capture d'écran.
Et s’il fallait parfois plutôt chercher à exacerber les tensions plutôt que de vouloir toujours les apaiser ? Entretien avec Caroline Hussler.
Lors d'une manifestation à l'appel du Haut Conseil islamique à Bamako, le 5 avril 2019, suite aux violences subies dans le centre du Mali.
Michele Cattani/AFP
Pourquoi seules les milices peules sont-elles fréquemment accusées de djihadisme par l’ensemble des autres groupes d’autodéfense, avec les répercussions que l’on sait sur les civils ?
Ali Darassa, le dirigeant de l'UPC, l'un des principaux groupes armés en Centrafrique (ici le 16 mars 2019, près de la localité de Bambari).
Florent Vergnes/AFP
Une grande partie des tensions actuelle est due à l’irruption d’acteurs externes. Mais sans État pour s’interposer, défendre et expulser les acteurs de la discorde, la violence risque de s’accroître.
Le premier ministre Narendra Modi lors d'un événement politique dans l'état indien du Jammu et Cachemire, le 3 février 2019.
Rakesh Bakshi/AFP
Dans cette région du Mozambique riche en ressources, les suppositions et les théories du complot abondent au sujet des insurgés qui sèment la violence.
A Paris, le 2 février 2019.
Zakaria Abdelkafi / AFP
La proportionnalité est une notion complexe qu’il faut mettre à plat. À l’heure de la loi contre les « casseurs », elle renvoie également à un autre problème essentiel, le statut des manifestants.
Des soldats ukrainiens en position près de la localité de Marioupol, dans l'est de l'Ukraine, le 29 novembre 2018.
Sega Volskii / AFP
David Teurtrie, Institut national des langues et civilisations orientales - Inalco - USPC
Si le conflit dans le Donbass reste le point de tension principal, les contentieux russo-ukrainiens ne cessent de croître dans tous les domaines au moment où l’Ukraine entre en période pré-électorale.
A Tijuana (Mexique), à la frontière avec les États-Unis, le 30 novembre 2018, un migrant se repose.
Pedro Pardo / AFP
Il est illusoire d’élaborer un plan de paix sans prendre en considération la pluralité des acteurs du conflit yéménite et des enjeux locaux, régionaux et internationaux qui s’y superposent.
Sur le marché central de Mopti (centre du Mali), le 13 octobre 2018.
Michèle Cattani/AFP
Les civils du centre du Mali sont réduits au silence, pris en tenailles par les divers groupes armés qui écument la zone en toute impunité et dont l’identité réelle est difficile à définir.
Manifestation contre l'élection d'Ibrahim Boubacar Keïta, le président du Mali, le 15 septembre 2018.
Michèle Cattani/AFP
Plusieurs semaines après le vote, l’opposant Soumaïla Cissé continue à mobiliser ses partisans partout au Mali et dans plusieurs capitales étrangères pour dénoncer une élection fraudeuse.
Deux femmes venues d'Erythrée célèbrent la réouverture de la frontière avec l'Ethiopie, le 11 septembre 2018.
Stringer/AFP
La rapide pacification des relations entre l’Éthiopie et l’Érythrée aura surpris même les observateurs les plus avertis. Comment expliquer un si brusque renversement ?
Un village peul dans le nord du Sénégal (ici en 2007).
KaBa/Wikimedia
L’identité peule apparaît comme un épouvantail symbolisant la menace djihadiste. Pourtant, cette identité est bien trop hétérogène pour établir un lien aussi simple.
Le 12 juin 2018, manifestation à Lyon.
Jeff Pachoud/AFP
Y a-t-il des gagnants et des perdants parmi les organisations syndicales ? Ni l’un, ni l’autre. Juste un rendez-vous manqué vers des relations sociales pacifiées au sein de la SNCF.