Les IA apprennent plus vite que jamais. Mais lorsqu’elles ont intégré des données biaisées ou confidentielles, comment faire en sorte qu’elles les oublient ?
Dans le cerveau, où est rangée notre mémoire ? En réalité, il n’existe pas de zone dédiée au stockage de nos souvenirs, mais des réseaux de neurones distribués dans tout le cerveau.
Vous ne vous souvenez pas d’où vous avez mis vos clefs ? C’est normal, vous ne faites pas un début d’Alzheimer. Mais alors, comment savoir quand l’oubli est vraiment inquiétant ?
Nous avons tous déjà oublié le mot dont nous avions besoin au milieu d’une phrase, et nous connaissons la sensation de l’avoir sur le bout de la langue. Mais quand est-ce que l’on doit s’inquiéter ?
Typiquement, la maladie d’Alzheimer est associée à un déclin de la mémoire épisodique. Les patients disent ne plus se rappeler d’évènements, de conversations ou des choses qu’ils ont faites.
En mars 2020 ouvrait dans les Landes le premier village dédié aux malades d’Alzheimer. Une approche en rupture, qui vise à moins médicaliser et mieux intégrer les quelque 120 résidents.
La théorie de l’amyloïde bat de l’aile, mais l’approbation de l’aducanumab représente un risque qu’elle reprenne toute la place et ralentisse la recherche de traitements plus prometteurs.
Une consommation élevée de viandes hautement transformées peut simplement être représentative d’un mode de vie moins sain dans l’ensemble, ce qui augmente les risques d’Alzheimer.
Connue officiellement depuis 115 ans, il n'y a toujours pas de traitement contre l'Alzheimer. Le cerveau humain est extrêmement complexe, et la maladie d'Alzheimer est sa maladie la plus complexe.
Ahlem Zaghmi, Institut national de la recherche scientifique (INRS) and Marc A Gauthier, Institut national de la recherche scientifique (INRS)
Un nouveau traitement pourrait permettre de préserver les capacités motrices des patients qui ont subi un AVC. Il pourrait changer les stratégies médicales pour d’autres maladies neurodégénératives.
Le consentement libre et éclairé est un pilier de l’éthique médicale. Mais comment faire pour l’obtenir lorsque les capacités cognitives des patients sont altérées ?
L’isolement social que connaissent les personnes âgées qui tentent de se protéger contre la pandémie de coronavirus fait naître de nouveaux risques pour la santé mentale.
Docteure en sociologie - Architecte D.E - Membre associée au Centre Emile Durkheim et au laboratoire PAVE de l'Ecole Nationale Supérieure d'Architecture et de Paysage (ENSAP) Bordeaux- Chargée de recherche et d'études au sein de l'atelier AA, Université de Bordeaux
Psychiatre du sujet âgé, chercheur associé au Laboratoire interdisciplinaire d'étude du politique Hannah Arendt (Université Paris-Est Créteil), co-directeur du département de recherche Éthique biomédicale du Collège des Bernardins, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)