Jérôme Santolini, Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA); Pierre Labadie, Centre national de la recherche scientifique (CNRS), and Vincent Fauvelle, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Les PFAS constituent une préoccupation majeure, en raison de leurs effets délétères avérés sur la santé. Si une loi vise à en encadrer l’usage, des problèmes persistent néanmoins. Explications.
La santé figure parmi les préoccupations majeures des Français lors des élections européennes. En recentrant leur discours sur cet enjeu, les Verts pourront-ils faire des gains ?
Les PFAS sont dans le viseur du législateur. Mais il y a un verrou : il ne s’agit pas seulement de surveiller une poignée de composés connus, mais de considérer des millions de molécules différentes.
Découvertes dans les années 1940, les PFAS ont envahi notre quotidien. On sait aujourd’hui qu’elles posent de nombreux problèmes de santé. Problème : il est extrêmement difficile de s’en débarrasser.
On a retrouvé des PFAS, des produits chimiques synthétiques contenus dans le fart de ski, dans la neige et le sol des pistes de ski. Une menace sérieuse pour l'environnement.
L’accumulation de polluants synthétiques dans la graisse des orques nuit à la santé de ces mammifères marins. Il est urgent d’agir pour résoudre ce problème.
Les pailles de papier ou de bambou dites « écologiques » contiennent des PFAS, des « polluants éternels » associés à de nombreux problèmes de santé, tant chez les humains que chez les animaux.
Les PFAS, aussi appelés « polluants éternels », sont des contaminants que l’on retrouve partout et qui ont des effets nocifs sur la santé. Il est plus que temps d’interdire leur utilisation.
C’est désormais prouvé : nos chaussures sont de véritables nids à microbes ramenés de l’extérieur. Se déchausser à l’entrée est la meilleure façon de protéger son intérieur d’infections, plomb, etc.
Ni bourgeois, ni prolétaire, détenteur de ses moyens de production mais n’exploitant finalement que lui-même et/ou sa famille, l’agriculteur résiste à la polarisation sociale du capitalisme.
PU-PH, chef du service de biochimie métabolique à l'hôpital Necker-enfants malades, professeur à l'Université Paris Cité, directeur de l’UMR-S 1124 « Toxicité Environnementale, Cibles Thérapeutiques, Signalisation Cellulaire et Biomarqueurs (T3S) », Inserm
Chercheur en biochimie, responsable du laboratoire « Stress oxydant et détoxication », Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)