Les filles et des garçons continuent à être élevés de façon différenciée, selon les normes et représentations liées au genre. Et cela influence la manière dont ils s’emparent des outils numériques.
Comprendre comment les pères avec un nouveau-né ont vécu le confinement et ce qu’ils ont fait durant cette période offre des pistes pour repérer les potentiels effets d’une telle réforme.
Lorsque la politique s’exprime sur la « ruralité » elle tend à méconnaître les conditions d’existences des jeunes ruraux, mais surtout gomme les fractures qui existent au sein même de ce large groupe.
Les femmes occupent de plus en plus de postes de direction à haute visibilité. Cela reflète leur capacité à gérer efficacement, comme l’ont démontré Chrystia Freeland et Kamala Harris.
Une étude montre que faible développement et intensité du sentiment religieux sont deux facteurs expliquant pourquoi les stéréotypes sexistes sont plus répandus dans certains pays que dans d’autres
Gisèle Halimi, figure d’un XXᵉ siècle en ébullition, a croisé des situations qui ont laissé une trace écrite et orale en France, au Maghreb et jusqu’en Palestine
Isabelle Attané, Institut National d'Études Démographiques (INED)
Le déséquilibre numérique entre les sexes en Chine résulte d’une surmortalité féminine ancienne et, à partir des années 1980, de la sélection prénatale du sexe favorisant les garçons.
Confrontées à des propos sexistes, peu de femmes osent dire à leur interlocuteur que ses paroles sont déplacées. En quoi est-ce lié à des normes sociales de genre ?
En temps de crise, l’invisibilité et la précarité touchent surtout les femmes qui représentent plus de 43 % de la main-d’œuvre agricole dans le monde. Regards au Maroc et en Espagne.
Prises en étau entre le suivi pédagogique des enfants et un travail considérable à assurer à plein temps, les femmes cadres continuent d’assumer une grande part de la charge domestique et parentale.
Nina Sahraoui, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
La bataille pour une intégration plus juste de Mayotte au sein de l’État français se fait en grande partie sur le dos d’une population maintenue dans l’irrégularité.
Les inégalités sociales de santé relativement à la Covid-19 se repèrent parmi les victimes « officielles » de l’infection, mais aussi parmi celles que le virus atteint sans même les infecter.
Julie Pannetier, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières and Andrainolo Ravalihasy, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Les violences sexuelles envers les femmes sont de mieux en mieux connues parce qu’elles font l’objet d’enquêtes et que la parole se libère. Celles subies par les femmes immigrées sont moins connues.
Dans l’urgence, les invisibles sont devenus plus que visibles : ils sont au front là où nous avions tendance à les mettre à « l’arrière-boutique » afin de ne pas reconnaître leurs différences.
Assistant Professor of Arab Crossroads Studies and Anthropology , NYU Abu Dhabi, chercheuse associée LESC, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières