François Fillon et Benoît Hamon mettent l’accent sur des idées justes, mais leurs projets sont gravement insuffisants par rapport à la structure de l’économie qui découle de la globalisation.
La crise démocratique provient du délitement du capital social, et ne sera pas résolue par l’illusoire retour au plein emploi, mais éventuellement par un véritable revenu universel.
Des idées pour répondre aux trois défis – protectionniste, géopolitique et populiste – lancés par la politique annoncée par le nouveau président américain.
Avec 90 milliards d’euros de participation dans les entreprises, l’État actionnaire a un pouvoir important en France. Trop important ? Analyse de ses actions et de l’utilité d’un désengagement.
Donald Trump a beaucoup critiqué le pouvoir de la Réserve fédérale durant sa campagne. Va-t-il passer à l’acte et chercher à l’influencer et la réformer ?
Analyse critique de l’ouvrage de Cahuc et Zylberberg, « Le Négationnisme Économique ». Derrière le débat entre économistes, un autre apparaît entre libéraux et anti-libéraux.
Plaidoyer pour un véritable dispositif expérimental dans les sciences économiques. Illustré par la question de l’effet des dépenses publiques sur l’activité : l’efficacité des politiques keynésiennes.
Les économistes ont leurs remèdes. Mais il faut aller au-delà de l’économie classique si l’on veut vraiment « tout essayer ». Les leçons de P.-N. Giraud et de l’École de Paris du Management.
Qu’est-ce qui détermine la force sportive d’une nation aux Jeux olympiques ? Pourquoi tel pays semble bien plus fort que d’autres et domine la compétition ? Réponses économico-politiques.
Le « Brexit » a révélé les fractures territoriales d’un Royaume désuni. Sachons en tirer les leçons et miser sur l'industrie, facteur de cohésion territoriale.
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)