En 1951, l’économiste Joseph Schumpeter expliquait que le capitalisme « éliminait les éléments vieillis en en créant continuellement des nouveaux ». Une théorie mise à mal par le contexte actuel.
Un produit révolutionnaire, un conseil d’administration prestigieux, une fondatrice de charme : la start-up a rapidement séduit les investisseurs. Mais l’histoire était trop belle pour être vraie…
Tropismes culturels, manque d’accompagnement des écoles… Les créateurs d’entreprise français n’ont pas le réflexe de se lancer à l’international. Pourtant, de belles opportunités existent.
Communiquer sur son business model est un art délicat, qui peut à la fois mener à des levées de fonds conséquentes et liguer contre soi de puissants concurrents. Illustration avec la startup Ornikar.
Les déclarations du Président ne démentent pas les intentions du candidat en ce qu’elles font entrevoir une théorie de la justice adaptée à la nouvelle économie comme à la société numérique.
Depuis la création du statut en 2014, le nombre d’étudiants-entrepreneurs a augmenté de plus de 1 000 personnes chaque année. Analyse des premiers résultats de cette opération.
Imperméables à l’angoisse, visionnaires, sûrs d’eux… La liste des qualités prêtées aux créateurs de start-up est longue. Et très éloignée d’une réalité où l’anxiété domine.
Les grandes entreprises seraient incapables de créativité. Une idée renforcée par la vision des managers, qui considèrent que cette capacité ne se manage pas. Des a priori à remettre en cause d’urgence…
Les entreprises digital natives (GAFA, NATU, etc.) sont désormais classées parmi les entreprises les plus innovantes du monde. Décryptage de leur stratégie et de leur culture.
La croissance des start-up est un pilier du développement économique. En l’absence de convergence des approches, comment évaluer rapidement leur potentiel ? Présentation de quelques méthodes.
Le cas de la start-up Phenix montre que la lutte contre le gaspillage alimentaire nécessite un contexte réglementaire incitatif et des logiques d’innovation à l’échelle de l’écosystème d’affaires.
Tables de ping-pong dans les bureaux, tenues décontractées… Les start-up cultivent leur image cool, associée, voire responsable, de leur hypercroissance. Dans les coulisses, les choses sont différentes…
Didier Bernard, Grenoble IAE Graduate School of Management
BSA pour « bon de souscription d’action », AIR pour « accord d’investissement rapide » : une nouvelle voie de financement pour les start-up. Analyse de cette innovation.
Quel est le système qui conduit Uber à afficher des pertes aussi catastrophiques ? Sur quoi fonctionne la course aux parts de marché de l’inventeur de l’ubérisation ? Analyse d’un anti-modèle.
Le marché se divise en deux populations, celle des vélos qui moutonnent en station, accrochés à des bornes, et celle qui papillonne sans attache. Entre eux, c’est la lutte pour la vie.
L’entrepreneuriat revêt différents aspects, allant de l’idée d’un projet à la création d’entreprise. Ce cheminement, loin d’être linéaire, est fait d’allers-retours incessants, notamment en amont.
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)