Les métropoles de la FrenchTech affichent un beau dynamisme. Mais pour devenir de vraies « villes intelligentes », elles doivent s’enraciner et faire émerger leurs propres talents.
Le marché de la bière, désormais mondial, est le champ de bataille de méga-brasseurs multi-marques. Mais s'y développent quand même des acteurs artisanaux.
Si le rôle positif du numérique dans le domaine de la santé est reconnu, le big data doit prévenir les risques sanitaires et non en développer de nouveaux, tout en préservant la vie privée.
Les dispositifs techniques qui transforment nos petits gestes quotidiens participent plus généralement d’une perte d’attention et d’adresse dans notre rapport au monde sous couvert de praticité.
Face à la domination hégémonique de l’univers financier et au professionnalisme croissant, peut-on encore aimer le sport aujourd’hui ? Peut-être grâce à la survie de l’imaginaire sportif.
Servuction, intangibilité, périssabilité… et planter du bâton : petite leçon de marketing des services illustrée par les péripéties du film « Les bronzés font du ski ».
À partir du cas du Compte Nickel, qui a franchi la barre des 500.000 comptes ouverts en février 2017, enquête de terrain sur ce que pourrait être un service bancaire de base « non toxique ».
En partant d'une publicité pour parfumerie, exploration des contours et des faux semblants de l'individualisme, fiction fabriquée par la société de consommation.
L’acide hyaluronique a de réelles propriétés anti-âge. Le seul problème est que cela ne fonctionne qu’en injections. Et non pas en crèmes, comme tente de le faire croire les fabricants de cosmétiques.
On entend souvent dire que les hommes politiques sont des marques. Voici pourquoi ce n’est pas vrai. Et pourquoi le marketing de la demande politique a tout gâché.
Le marketing digital ne concerne pas uniquement les ventes en ligne. L’organisation des ventes en boutique va également être révolutionnée par le numérique. Étude du cas Ralph Lauren.
Retour sur l’apport des recherches sur la prise en compte des états affectifs des individus dans l’analyse de leurs comportements de prise de décision et de consommation. Vingt ans de marketing.
Allergènes, irritants… Il est de bon ton de brocarder l’industrie cosmétique pour ses formulations pas si anodines. En réalité, le cosmétique est plutôt transparent, par rapport au… médicament !
Peut-on faire signe de tout… et de rien ? Peut-on tout événementialiser ? Réflexion autour des logos des candidats aux JO, à la lumière des leçons du Barthes de « L’Empire des Signes ».
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)