Entre des papillons ne vivant que quelques jours et des méduses immortelles, l’espérance de vie dans le vivant est très variable. Et nous dans tout ça ?
Traditionnellement, les philosophes ont séparé l’être humain de l’animal par notre capacité à inventer. Et pourtant ils inventent ! L’occasion de repenser notre vision de l’animalité.
La masse corporelle des animaux a une énorme influence sur leur biologie ; elle participe notamment à la production de chaleur corporelle et à l’adaptation à la température extérieure.
Chez l’humain, la longueur des télomères, structures à l’extrémité de l’ADN diminue avec le temps, causant un vieillissement, alors que chez le protée, elle augmente. La clé de sa longévité ?
La présence attentive, à travers la méditation d’attention focalisée, peut aider à surmonter les pensées négatives répétitives, améliorant ainsi la santé mentale et physique.
Dans le désert, le manque d’eau est le principal problème, mais certains animaux ont développé des capacités extraordinaires pour survivre dans les régions arides.
Il ne viendrait à l’idée de personne de manger un animal en voie de disparition comme le lynx ibérique. Alors pourquoi mangeons-nous encore des anguilles ?
Les humains sont très mauvais au sprint, aucune chance face à un guépard, mais plutôt bons en endurance. Certains sont même capables de battre les chevaux à la course sur longue distance.
Les virus qui hantent les forêts tropicales humides peuvent être à l’origine de graves maladies émergentes. Pour mieux les surveiller, les scientifiques pourraient bientôt compter sur les fourmis.
Les animaux vivant dans les régions polaires font preuve de capacités d'adaptation extraordinaires pour résister au grand froid. En voici quelques-unes.
Des milliards de masques et autres équipements de protection individuelle ont été utilisés tout au long de la pandémie. Contenant du plastique, ces articles nuisent à la faune et à son environnement.
L'animalisation reste une forme malveillante de déshumanisation. La simianisation est une version de cette stratégie, qui a historiquement manifesté une combinaison de sexisme et de racisme.
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)
Professeur de psychologie sociale, membre honoraire de l’Institut universitaire de France (IUF), directeur de la MSH Alpes (CNRS/UGA), Université Grenoble Alpes (UGA)
Directeur de recherche CNRS, systématicien, directeur de l’Institut de systématique, évolution, biodiversité (ISYEB), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)