Dans cette série consacrée à la laïcité, nous nous attachons à décrypter les possibles incompréhensions, les polémiques mais aussi usages de ce terme et de ce qu’il recouvre au sein du débat public.
Si les morts au travail deviennent un sujet plus important dans le débat public, beaucoup demeurent encore invisibles du fait des maladies lentes et substances qui empoisonnent sur le long terme.
L’autorisation de l’aide active à mourir pose de multiples questions légales. Conditions d’accès, consentement, droit à disposer de son corps… Le point sur les dimensions juridiquement sensibles.
Éric Dacheux, Université Clermont Auvergne (UCA) et Daniel Goujon, Université Jean Monnet, Saint-Étienne
Débattre sur la place du travail est sans doute un préalable à toute bifurcation nous permettant de remédier à la triple crise économique, démocratique et écologique que nous vivons.
Les différences de conditions biologiques produisent des écarts en termes de capacité de travail : n’est-il pas temps de mieux les prendre en considération ?
La série « travail » s'attache à décrypter des aspects improbables, parfois inconnus ou impensés autour de cette notion actuellement au coeur des débats politiques.
Un lien idéologique fort s’est noué entre travail et appropriation des ressources, dont la notion de propriété. Pourtant, certains penseurs questionnent ce rapport entre revenu et travail.
Isabelle Guérin, Institut de recherche pour le développement (IRD); Elena Reboul, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) et Timothée Narring, Université Paris Cité
Dans différentes régions du monde, la gestion des dettes au quotidien représente un réel travail, principalement assumé par les femmes.
Notre première série sur la « fin de vie » s’inscrit dans les débats qui agitent en ce moment la convention citoyenne. Derrière cette expression et son éventuel prolongement législatif, des propositions – suicide assisté, euthanasie, mort choisie – mais aussi des réalités difficiles à appréhender comme celle de la souffrance morale des personnes âgées.
Même si le droit à la fin de vie devenait une réalité juridique, d’autres défis à son application demeurent. Focus sur les directives anticipées : pourquoi sont-elles peu opérantes ?
Dans le débat sur la fin de vie, ceux qui seraient amenés à mettre en œuvre l'aide active à mourir ne doivent pas être oubliés. Une clause de conscience spécifique pourrait-elle être instaurée ?
Directrice de recherche à l'IRD-Cessma (Université de Paris), affiliée à l’Institut Français de Pondichéry, Institut de recherche pour le développement (IRD)