Un effort international sans précédent a permis d’identifier des régions du génome associées à la susceptibilité à l’infection par le SARS-CoV-2 et au risque de développer une forme grave de Covid-19.
Tout le monde a déjà entendu parler de la maladie de Lyme. Mais saviez-vous qu’il existe de nombreuses espèces de tiques en France, et qu’elles propagent d’autres maladies, dont certaines émergentes ?
Des milliers de patients indiens convalescents du Covid-19 sont frappés par une grave infection fongique souvent mortelle, la mucormycose. De quoi s’agit-il, et pourquoi une telle flambée ?
Le génome du coronavirus est constitué de 30 000 « lettres », ce qui signifie qu’il existe une quantité énorme de mutations possibles. Mais inutile de paniquer pour autant.
Une des principales préoccupations concernant l’émergence de variants du coronavirus SARS-CoV-2 concerne le risque qu’ils puissent échapper à l’immunité induite par les vaccins, y compris ceux à ARN.
En regard des mesures de santé publique prises pour contrôler l’épidémie, l’effet de la météo sur la transmission du coronavirus SARS-CoV-2 est très probablement négligeable.
La saga des masques a rythmé les premières semaines de la pandémie. Un an plus tard, avec l’émergence de variants plus transmissibles, lesquels vaut-il mieux utiliser ?
Un an après le premier confinement, l’épidémie sévit toujours, le ballet des transferts de patients a repris. Comment s’explique cette accélération ? Que penser des mesures annoncées le 18 mars ?
Gilles Pison, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) et France Meslé, Institut National d'Études Démographiques (INED)
Depuis le début de l’épidémie, le SARS-CoV-2 a fait près de 90 000 décès dans notre pays selon le décompte de Santé publique France. Comment cette situation se traduit-elle en termes de surmortalité ?
Alors que l’épidémie de SARS-CoV-2 a entraîné des dizaines de milliers de décès d’adultes dans notre pays, les enfants n’ont été que très peu touchés par ce nouveau coronavirus.
Encore inconnu voici à peine plus d’un an, le coronavirus SARS-CoV-2 a profondément bouleversé nos sociétés. Que savons-nous de lui, et que nous reste-t-il à apprendre pour espérer le dompter ?
Gilles Pison, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) et France Meslé, Institut National d'Études Démographiques (INED)
Un an après le début de l’épidémie de Covid-19, le coronavirus SARS-CoV-2 a fait 90 000 victimes en France. Ce chiffre est-il comparable aux épidémies de grippes qui frappent chaque hiver notre pays ?
Benjamin Roche, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Un an après le début de la pandémie, plusieurs variants du SARS-CoV-2 ont émergé, menaçant de changer le visage de la pandémie. Pourquoi maintenant ? Comment répondre à cette menace ?
Ebola a déclenché une nouvelle épidémie en Guinée. Face à cette flambée, les pays d’Afrique de l'Ouest sont mieux préparés qu’ils ne l’étaient sept ans en arrière.
Samuel Alizon, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Le séquençage est un outil précieux pour identifier les mutations et suivre les épidémies. Pourtant, contrairement à d’autres pays, face au SARS-CoV-2 la France l’a peu utilisé. Pourquoi ?
Samuel Alizon, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Alors que le mot « reconfinement » était sur toutes les lèvres, l’exécutif a choisi de ne pas recourir à cette mesure drastique. Que penser d’une telle décision ? Éléments de réflexion.
Près de 8 % des malades hospitalisés pour Covid-19 sont victimes d’atteintes neurologiques. En quoi consistent ces problèmes parfois graves ? Quelles en sont les causes ?
À mesure que se développe l’épidémie de coronavirus, de nouveaux variants apparaissent. Ces mutants pourraient poser problème. Que sait-on de ceux qui préoccupent actuellement les spécialistes ?
Directeur de Recherche au CNRS et directeur de l'équipe Écologie et Évolution de la Santé au Centre interdisciplinaire de recherche en biologie (CIRB) UMR CNRS 7241 – U1050 Inserm – Collège de France, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Professeur, département Méthodes quantitatives en santé publique (METIS), Univ. Rennes, EHESP, CNRS, Inserm, Arènes - UMR 6051, RSMS – U 1309, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Maître de conférences en épidémiologie et évolution des maladies infectieuses, laboratoire PCCEI (Univ. Montpellier, Inserm, EFS) & CHU Nîmes, Université de Montpellier
PU-PH, Professeur de Pédiatrie, Inserm UMR 1069 "Nutrition, Growth Cancer" & Inserm F-CRIN PEDSTART, Institut Européen de l'Histoire et des Cultures de l'Alimentation,Université de Tours, CHU de Tours, Inserm
Professeur des Université en pédiatrie, chef du service de pédiatrie générale et des urgences pédiatriques, hôpital Mère Enfant, CHU Nantes, Université de Nantes