La chancelière allemande Angela Merkel prononce un discours lors d'une réunion du Parlement fédéral allemand, le Bundestag, à Berlin, le 23 avril. L'Allemagne a su gérer la crise du coronavirus mieux que ses voisins.
AP Photo/Michael Sohn
Les qualités de gestion dites féminines seraient plus garantes du succès d’une organisation ou de la bonne marche d’un État, avec ou sans situation de crise.
Edouard Philippe en discussion avec le directeur de l'hôpital de Strasbourg Christophe Gautier, le 23 avril 2020.
PATRICK HERTZOG / AFP
D’après les résultats de la dernière vague de l’enquête du Baromètre de la confiance politique du Cevipof, rien n’indique un élan d’enthousiasme à l’égard de la science.
Le président brésilien Jaïr Bolsonaro brandit une image de Jésus Christ le 18 avril dernier lors d’un rassemblement à Brasilia contre l’avortement.
Sergio Lima / AFP
Dans toute la région, la foi est revenue comme un leitmotiv des discours politiques des dernières semaines. Une façon de rassurer leur population sans nécessairement prendre des mesures concrètes.
Dal Lake, Srinagar, sous des nuages chargés.
Massimo Montorfano/Flickr
Shahzaman Haque, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)
Au-delà des arrestations arbitraires et des exactions au Cachemire indien, une tout autre bataille fait rage : celle qui a pour enjeu la langue maternelle, ultime rempart des Cachemiris.
Emmanuel Macron lors d'une rencontre avec des travailleurs sociaux d'un centre d'action sociale à La Courneuve le 7 avril 2020.
GONZALO FUENTES / POOL / AFP
On redécouvre, avec le Covid-19, que la cité ne tient ensemble que si la politique reste en résonance avec ses ressorts sensibles et ses composantes les plus fragiles.
Photo prise par l'auteur dans son quartier, vidé par le confinement.
Philippe Bizouarn
Un médecin anesthésiste-réanimateur en CHU et philosophe nous explique la nécessité d’observer la maladie pour soigner et pour gouverner, soulignant l’absence de projet – tout en l’éclairant.
Emmanuel Macron, en visite dans un centre médial à Pantin, près de Paris le 7 avril 2020.
GONZALO FUENTES / POOL / AF
Comment clarifier la relation complexe entre scientifique et politique ? Max Weber et André Comte-Sponville peuvent éclairer notre compréhension sur ce qui différencie fondamentalement ces postures.
L'allocution d'Emmanuel Macron à la télévision le 13 avril 2020.
Franck Fife / AFP
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
Beaucoup de forces convergent durant cette pandémie pour s’opposer à la raison et déstabiliser les institutions scientifiques.
La ministre de la Santé, Patty Hajdu, en compagnie de l'administratrice en chef de l'Agence de la santé publique du Canada, Theresa Tam, et du premier ministre Justin Trudeau, lors d'une conférence de presse sur le coronavirus qui s'est tenue à Ottawa, le 11 mars.
La Presse Canadienne/Adrian Wyld
Que l’on soit ou non en situation de crise, l’intégration efficace de la science dans la prise de décisions politiques améliore les projets de loi et mène à des solutions efficaces pour la société.
L'aversion à l’ambiguïté reste la grande absente du modèle standard de choix généralement utilisé en économie.
Loïc Venance/AFP
Comment orienter les décisions quand les risques sont difficilement évaluables ? Une étude conduite pendant la COP21 de 2015 tente de répondre à la question.
Panneau d'information à Mulhouse, le 6 mars, une semaine avant que la France décide d'un confinement général.
SEBASTIEN BOZON / AFP
Nos contradictions face à la prise de risque nous entravent, tant dans l’anticipation que dans la gestion de crise.
Emmanuel Macron en conférence virtuelle avec des représentants du Conseil de l'Europe à Paris le 26 mars pour discuter de la coordination de l'UE dans le contexte de pandémie de Covid-19.
La gestion de la pandémie par le gouvernement Macron pourrait donner lieu à de nouvelles formes de gouvernances plus autoritaires fondées sur le rejet de la démocratie représentative ordinaire.
Passation entre Agnès Buzyn et Olivier Veran à la tête du ministère de la Santé et des Solidarités le 17 février 2020.
GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP
Si le recours annoncé à un état d’exception d’urgence sanitaire n’a pas de quoi surprendre, la volonté affirmée de créer un nouveau dispositif interroge alors qu’un texte existe déjà.
Emmanuel Macron parle aux médias après son vote aux élections municipales.
Pascal Rossignol/AFP
Michel Wieviorka, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
On peut évidemment exercer son esprit critique en temps de crise, mais il faut savoir préserver l’unité de la nation.
Allocution du Président Emmanuel Macron en direct depuis le palais de l'Elysée le jeudi 12 mars, au sujet de la crise de Covid-19 en France.
Ludovic Marin / AFP
La crise, c’est de la complexité à gérer, tant de nombreuses parties prenantes sont concernées. Il est surtout difficile de trouver la juste dose d’actions, de paroles, d’anticipations.
Le scrutin du 15 mars met en lumière plusieurs enjeux sociaux et politiques sous-jacents depuis l'élection d'Emmanuel Macron.
Les élections municipales risquent d’être marquées par un déficit de légitimité.
Des islamistes pakistanais protestent contre la clémence de la Cour suprême à l'égard d'Asia Bibi, une chrétienne pakistanaise accusée de blasphème, à Karachi, le 1er février 2019.
Asif Hassan/AFP via Getty Images
Au Pakistan, en Iran et en Arabie saoudite, le blasphème est passible de la peine de mort. Ces lois n’ont pas seulement des motifs religieux : elles répondent aussi à des préoccupations politiques.
La crise des inventaires : l'inventaire de l'église Sainte-Clotilde à Paris. Le Petit Parisien, 18 février 1906.
BnF/Gallica
Le modèle laïque plonge ses racines dans la politique de laïcisation entreprise par les républicains à la fin du XIXᵉ siècle, qui culmine en 1905 avec la séparation de l’Église et de l’État.