Analyse des processus d’adoption des innovations, nouveaux produits et nouveaux services numériques. Où il est question d’apprentissage pour les nouveautés complexes.
Pas si facile d'échapper aux préjugés. Les réactions de défiance vis-à-vis de ce que nous considérons comme extérieur s'ancrent dans nos cerveaux, héritage de l'évolution. Mais tout n'est pas dit…
Se gratter le visage, se mordre l’intérieur des joues, s'arracher les cheveux : certains gestes anodins relèvent de la pathologie dès lors qu’ils deviennent compulsifs.
Antonio A. Casilli, Télécom Paris – Institut Mines-Télécom et Paola Tubaro, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Antonio Casilli et Paola Tubaro ont étudié les communautés web des personnes atteintes de troubles alimentaires. Extrait de « Le phénomène “pro-ana" : Troubles alimentaires et réseaux sociaux »
Et si les objets de notre quotidien émettaient des ondes positives ? C’est l’esprit dans lequel des chercheurs se sont intéressés à des motifs de tissus particulièrement bien reçus par notre cerveau.
Y a-t-il un gène du « casse-cou » ? Certains d’entre nous aiment prendre des risques, parfois jusqu’à frôler la catastrophe. L’étude du cerveau nous en dit plus.
Le sentiment de confusion qui nous saisit parfois devant un problème complexe peut nous être utile. Signe d’une difficulté, il peut être surmonté et conduire à un meilleur apprentissage.
Des horaires plus libres et une plus grande autonomie dans le travail ne sont pas forcément garants d'un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie privée.
Personnalités profondément antisociales, psychopathes et pervers narcissiques ne sont pas si rares dans nos sociétés. Certains commettent des crimes mais d’autres affichent leur réussite.
Nombreux sont les bienfaits de la solitude, qu’elle soit choisie ou subie. Mais à l’ère numérique, il devient de plus en plus compliqué d’en saisir les contours… et d’en profiter.
Pas facile de prolonger le bénéfice des vacances une fois revenu au travail. Quatre attitudes doivent nous éviter de nous laisser submerger trop vite par le stress.
Les nouveaux mondes virtuels ne sont pas sans dangers. En réalité virtuelle ou augmentée, la manipulation est relativement aisée et brouille notre libre arbitre.
Les mécanismes de l'humour sont intimement mêlés à ceux de la mémoire et de l'intuition. Depuis quelques années, c'est un sujet que les psychologues prennent très au sérieux.
« Moi, j’aime l’amour qui fait boom », nous dit la chanson. Rien de plus faux, rétorque la science : contrairement aux idées reçues, les femmes aiment les hommes gentils, pas les machos !
Les livres de développement personnel nous donnent toujours plus de clés pour atteindre le bonheur. Alors pourquoi semble-t-il perpétuellement nous échapper?
Avec l'âge, la distance entre deux anniversaires semble passer en un éclair. Comment expliquer cette étrange distorsion dans notre perception du temps?
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)
Professeur de psychologie sociale, membre honoraire de l’Institut universitaire de France (IUF), directeur de la MSH Alpes (CNRS/UGA), Université Grenoble Alpes (UGA)
Professeur des universités en sciences de l'éducation/formation des adultes, Formation et Apprentissages Professionnels, Cnam, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)