Si la France obtient de bons résultats dans les compétitions de haut niveau, peut-on la qualifier de nation de sport ? L’école a-t-elle les moyens d’y poser les bases d’une réelle culture sportive ?
À l’heure des JO et d’une médiatisation du sport à tous les âges, la sédentarité progresse chez les enfants. L’école est un lieu privilégié pour favoriser l’activité physique via les cours d’EPS.
Si des programmes comme les « 30 minutes d’activité quotidienne » à l’école mettent l’accent sur la lutte contre la sédentarité, la mission des cours d’éducation physique et sportive va bien au-delà.
Comment lutter contre la sédentarité des jeunes ? C’est un problème mondial à l’heure des écrans. Zoom sur la Finlande qui a mis en place des politiques en faveur de l’activité physique.
L’organisation des Jeux olympiques peut-elle être un levier pour lutter contre la sédentarité des élèves ? C’est dans cet esprit qu’a été lancé le dispositif « 30 minutes d’activité physique par jour ».
Pour faire de l’égalité entre filles et garçons une réalité sans condition, ne faudrait-il pas penser un modèle sportif reposant sur la coopération et la mixité plus que sur la compétition ?
C’est le mal du siècle pour les adultes, mais pas seulement : 25 % des enfants de 10 à 15 ans se plaignent de mal de dos. Quelles sont les principales raisons, et les bonnes pratiques à adopter ?
Pour lutter contre la sédentarité, l'Éducation nationale veut encourager l'activité physique des élèves. Mais les objectifs des cours d'EPS vont bien au-delà des enjeux de santé publique.
Une nouvelle étude met en lumière les bénéfices cognitifs de l’activité physique alors qu’une autre semble dire le contraire, alimentant le débat scientifique sur la question. Voici ce qu’il en est.
Organiser les Jeux olympiques peut-il susciter chez les jeunes l’envie de se mettre au sport ? Le comité d’organisation l’espère. Mais la motivation repose sur des rouages complexes.
Les jeunes devraient pratiquer une activité physique soutenue durant au moins une heure par jour. Le compte n'y est plus : c’est un problème pour leur santé et celle de l’adulte qu’ils deviendront.
Si trop de Français se noient accidentellement, ce n’est pas forcément parce qu’ils ne savaient pas nager. Souvent, ils n’ont pas su évaluer les conditions de baignade et leur capacité à s’y adapter.
L'enseignement des arts du cirque dans les cours d'éducation physique a augmenté le savoir-faire physique, la résilience et la participation des enfants, avec une plus grande équité entre les sexes.
Avec les restrictions liées à la crise sanitaire, la détresse psychologique augmente chez les étudiants. Pour endiguer ce mal-être, les établissements tentent de miser sur l’activité physique.
La sédentarité est l’une des menaces actuelles pour la santé des enfants et le ministère de l’Éducation vient de lancer une initiative pour inciter au sport. Un tournant dans l’histoire scolaire ?
Pour beaucoup d’adolescents, le cours d’éducation physique et sportive est le seul moment d’activité sportive dans la semaine. Comment lutter contre la sédentarité en temps de confinement ?
Les cours d’éducation physique et à la santé vont devoir être donnés en format « distancié », mais ils devront continuer d’être valorisés et maintenus à l’horaire peut importe les circonstances.
Comment éduquer dans un contexte d’incertitude généralisée ? Comment armer les enfants face aux défis futurs ? La question se pose après les deux chocs que nous venons de subir.