La pratique de l’écriture, orientée sur la reconnaissance et l’analyse des éléments positifs de sa vie, n’a pas que des avantages d’ordre strictement thérapeutiques. Elle peut être utile à tous.
Alors que plus de la moitié de la population mondiale vit à présent en ville, la relation de l’homme à la nature dans les sociétés post-industrielles est au mieux compliquée, au pire inexistante.
Pour être efficace : se concentrer sur une seule activité à la fois. Contrairement à ce que certains prétendent, notre cerveau n’est pas une machine multitâche.
Assurer le bien-être des salariés tout en satisfaisant les actionnaires : c’est l’injonction parfois contradictoire à laquelle doivent répondre les DRH. Un paradoxe impossible à dépasser ?
Richesse(s), bonheur : quels indicateurs pour inventer demain ? Une première piste avec les indicateurs de bien-être soutenable territorialisés, qui mettent en lumière les facteurs du bien-être dans le travail.
Maude Lavanchy, International Institute for Management Development (IMD) y Jayanth Narayanan, National University of Singapore
Utilisée par de nombreux athlètes de haut niveau, la méditation de pleine conscience permet d’alléger la pression de la compétition. Hors des stades, les salariés peuvent eux aussi bénéficier de ses effets.
Tenir compte des points communs qui existent entre les salariés permet de mettre de l’huile dans les rouages d’une équipe. Savoir gérer les affinités représente donc un vrai enjeu managérial.
Dans un monde de plus en plus urbanisé, la concurrence entre les villes s’accroît pour attirer investisseurs et résidents. Un nouveau paysage où la qualité de vie est devenue essentielle.
On peut aimer son métier et pourtant en souffrir. Autrement dit, entretenir avec lui un rapport ambivalent. Aux chercheurs en sciences du travail de trouver comment mieux protéger ces salariés.
En complément aux analyses déjà réalisées, qu’en est-il du rôle des pratiques managériales dans la diffusion et la persistance du niveau élevé de pessimisme au sein de nos entreprises.
Faisant suite à un premier article, nous montrons ici, exemple à l’appui, qu’en dépit de son fort ancrage culturel, le pessimisme qui prévaut dans les entreprises françaises n’est pas inéluctable.
Dans une période de transformation des organisations, la gestion de l’espace physique de travail constitue un outil majeur (mais mal appréhendé) du management pour faire évoluer les modes de travail.
Das un monde de plus en plus violent, notamment l’univers économique, il est bon de se découvrir les bienfaits de la compassion et du concept d’autocompassion.
Plaidoyer pour une éthique de la compréhension qui cesse de réduire les modalités du bien penser à l’obsession des idées claires qui nous piège dans des caricatures de catégories.
Nous sommes obnubilés par les informations négatives et les problèmes. Imaginons un seul instant les milliards d’interactions humaines positives nécessaires pour qu’une entreprise fonctionne bien.
Associate professor en économie - Grenoble Ecole de Management, F-38000 Grenoble, France - coordinatrice recherche Chaire Unesco pour une culture de paix économique - co-titulaire Chaire Territoires en Transition, Grenoble École de Management (GEM)
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)
Professeur des universités, médecin hospitalier, Inserm 1107, CHU Clermont-Ferrand, Président de la Fondation Institut Analgesia, Université Clermont Auvergne (UCA)
Professeur de Gestion des Ressources Humaines, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-être au travail et Paix Economique à Grenoble Ecole de Management, Grenoble École de Management (GEM)