Des études ont montré que le régime méditerranéen, riche en légumineuses, fruits et légumes, poissons, huile d'olive, etc. est un allié pour prévenir les maladies cardiovasculaires.
luigi giordano/Shutterstock
Manger positif et durable pour sa santé et pour la planète, c’est possible. Pour cela, il faut adopter un régime méditerranéen et limiter le sucre non essentiel présent dans les aliments industriels.
Si l’échelle du consommateur comme de l’agriculteur semble peu propice à un changement de modèle, celle du territoire permet de créer des synergies entre partenaires publics et privés.
Le manque de sommeil ou sa mauvaise qualité font parties des facteurs de risque de développer la maladie d'Alzheimer. Heureusement, il y a des méthodes pour améliorer son sommeil.
(Shutterstock)
Le sommeil semble jouer un rôle essentiel dans plusieurs fonctions cérébrales, comme la mémoire. Un sommeil de bonne qualité pourrait donc jouer un rôle primordial dans la prévention de la démence.
Lors de l’achat d’aliments préemballés, les consommateurs allergiques se fient aux déclarations dans la liste d’ingrédients pour identifier les aliments sécuritaires.
(Shutterstock)
Les aliments « végan » sont perçus comme n’ayant pas d’ingrédients d’origine animale par la plupart de consommateurs, mais peuvent en fait contenir des protéines de lait.
C'est durant l'enfance que les goûts alimentaires se forment.
Shutterstock
Comment aider les jeunes de 6 ans à 15 ans à prendre de bonnes habitudes alimentaires ? Un projet de recherche participative a identifié quelques pistes d’action.
Le chou frisé a un goût unique qui peut changer quelque peu en fonction de sa variété et de la façon dont il est préparé.
(Shutterstock)
Un nutritionniste analyse les bienfaits pour la santé de différentes verdures.
Des résidents se dirigent vers le magasin Northern Store où sont vendus la plupart des produits alimentaires et des marchandises à Nain (T.-N.-L.).
LA PRESSE CANADIENNE/Darren Calabrese
L’insécurité alimentaire est un problème particulièrement ressenti par les Inuits du nord du Canada. La solution pourrait passer par des systèmes alimentaires culturellement adaptés.
Dans les sociétés occidentales, le végétarisme et le végétalisme sont essentiellement motivés par des préoccupations de santé ou par des préoccupations relatives au bien-être animal ou à la protection de la nature.
Shutterstock
Les personnes qui excluent la viande et les produits d’origine animale de leur consommation alimentaire peuvent facilement se trouver stigmatisés ou confrontés à des attitudes et stéréotypes négatifs.
Dans la mesure du possible, il est préférable d'opter pour des morceaux de viande non transformés ou maigres, et de limiter les grillades.
(Shutterstock)
La plupart d’entre nous savons vaguement qu’il ne faut pas manger trop de viande rouge, mais pourquoi en est-il ainsi ? Et le type de viande fait-il vraiment une différence ?
Deux tasses et demie de thé vert contiennent la quantité de flavanols recommandée par jour.
(Shutterstock)
Les campagnes en faveur d’une alimentation saine mettent en avant des produits bons pour la santé. Or, il existe un moyen inattendu plus efficace pour détourner de la « junk food ».
Il n'existe pas d'aliments miracles qui guérissent ou préviennent le cancer. Mais une saine alimentation contribue à un meilleur diagnostic.
(Shutterstock)
Saioa Gómez Zorita, Universidad del País Vasco / Euskal Herriko Unibertsitatea; Maitane González Arceo, Universidad del País Vasco / Euskal Herriko Unibertsitatea, and María Puy Portillo, Universidad del País Vasco / Euskal Herriko Unibertsitatea
L’alimentation ne guérit pas le cancer, mais elle en améliore le pronostic et contribue à sa prévention.
Certains facteurs peuvent perturber le microbiote intestinal. On parle notamment de notre alimentation, de notre consommation d’alcool, de la prise d’antibiotiques et des maladies inflammatoires de l’intestin.
(Shutterstock)
Une nouvelle étude démontre que le microbiote intestinal n’aurait que peu ou même pas d’effet sur notre poids, notre métabolisme et notre risque de développer des maladies chroniques.
Dans les points de vente, l’environnement sonore et lumineux exerce une forte influence sur l’acheteur.
Publicdomainpictures.net/Mohamed Mahmoud Hassan
Selon différents travaux de recherche, privilégier les courses en ligne ou faire ses achats dans des lieux calmes et lumineux permet au consommateur d’éviter les décisions erronées…
Au plan oculaire, une visite régulière chez l'optométriste ou l'ophtalmologiste permet de dépister les signes précoces des atteintes diabétiques.
(Shutterstock)
Le risque de développer des complications oculaires est élevé chez les jeunes souffrant de diabète de type II, qui affecte de plus en plus d'enfants et d’adolescents, notamment les plus sédentaires.
La pandémie a eu un impact à la fois sain et malsain sur nos relations avec la nourriture.
(Shutterstock)
La considération des conséquences futures de son alimentation varie beaucoup d’un individu à l’autre, souligne une étude.
La théorie métabolique est loin d’être la seule explication au déclenchement de l’Alzheimer. Certains soutiennent plutôt qu’une origine auto-immune, inflammatoire, ou même infectieuse serait en cause.
(Shutterstock)
L’Alzheimer est considérée par des scientifiques comme un nouveau type de diabète localisé au niveau du cerveau, nommé diabète de type 3. Il faut se méfier de cette appellation !
Pain industriel et paysan n'ont pas les mêmes caractéristiques.
Rawpixel.com / Shutterstock
De nombreuses personnes qui se sentent sensibles au gluten choisissent de l’écarter de leur alimentation. Les produits céréaliers artisanaux sont-ils une solution à leur intolérance digestive ?
Bien manger -et éviter les aliments ultratransformés- aident à prévenir l'une des maladies mentales les plus répandues: la dépression.
Shutterstock
Professeure Associée en Marketing _ Directrice des Programmes MSc Marketing et MSc Digital Marketing & Data Analytics, Grenoble École de Management (GEM)
Chercheur au Centre de recherche de l’Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec et Professeur titulaire au Département de médecine, Université Laval
Profesora en la Universidad del País Vasco. Investigadora del grupo Nutrición y Obesidad del Centro de Investigación Biomédica en Red de la Fisiopatología de la Obesidad y Nutrición (CiberObn) y del Instituto de Investigación Sanitaria Bioaraba, Universidad del País Vasco / Euskal Herriko Unibertsitatea
Catedrática de Nutrición. Centro de Investigación Biomédica en Red de la Fisiopatología de la Obesidad y Nutrición (CIBERobn), Universidad del País Vasco / Euskal Herriko Unibertsitatea