Il est urgent d'engager la transition énergétique, sans se résoudre au fatalisme ni attendre une solution miracle. Les technologies pour une sobriété acceptable, sans régression, sont disponibles.
Un regard rétrospectif et décloisonné sur la « découverte » des dérèglements climatiques souligne les liens entre choix énergétiques et technologiques et enjeux sociaux, économiques et politiques.
Après une forte baisse des émissions en 2020 due à la pandémie de Covid-19, 2021 témoigne d’une inquiétante reprise, souligne la nouvelle étude du Global Carbon Projet.
Par ses conséquences désormais visibles, le climat est devenu un enjeu incontournable pour les États, qui pourrait transformer en profondeur la géopolitique.
Les mèmes Internet, ces contenus au ton humoristique qui se diffusent massivement sur le Web, représentent une source précieuse pour comprendre comment le réchauffement touche la jeunesse.
Réchauffement planétaire et humidité vont de pair. De quoi contrer notre meilleure défense, la transpiration, et nous faire entrer dans une période physiologiquement inédite… et dangereuse.
Cet épisode est dédié au « solutionnisme technologique », des termes au cœur d’un débat sociétal majeur : face à la crise climatique, qu’attendons-nous de l’innovation technologique ?
Si elles intègrent peu à peu l’enseignement scientifique, les sciences et recherches participatives devraient être mieux adaptées aux objectifs pédagogiques.
Cette tension sur les prix agricoles intervient dans un contexte déjà fragilisé par la pandémie. Portée par les dérèglements climatiques, elle souligne la nécessité de développer l’agroécologie.
La surveillance de la qualité des eaux souterraines s’est accrue ces dernières années, en lien notamment avec la production d’eau potable. Le nitrate représente l’un des paramètres les plus mesurés.
Les espaces de coworking se multiplient, y compris hors des métropoles. Avec un potentiel de bénéfices environnementaux sur les mobilités à long terme, à certaines conditions.
Morgane Gonon, Université Paris Dauphine – PSL; Clement Surun, AgroParisTech – Université Paris-Saclay et Harold Levrel, AgroParisTech – Université Paris-Saclay
Si l’aménagement du territoire n’évolue pas, les coûts de renaturation des sols, prévue par la loi Climat et résilience, pourraient atteindre entre 154 et 632 milliards dans la prochaine décennie.
Le métabolisme de l’arsenic comme un indice de vie possible sur Terre représente un enjeu crucial de la compréhension de l’émergence de la vie sur notre planète.
« Effondrement », le mot effraye et provoque. Il est devenu central dans la pensée écologique. Cet épisode nous raconte son histoire, ses fondements scientifiques mais aussi les pratiques qui en découlent.
Les fleuves français charrient dans leurs eaux encore trop d'azote et de phosphate qui, une fois déversés en mer, contribuent au phénomène d'eutrophisation des eaux marines côtières.
Sortie de la boîte à outils de l’agroécologie, cette technique peu coûteuse met en jeu la grande biodiversité microbienne des litières forestières afin d’assurer la fertilité des sols.
Ni bourgeois, ni prolétaire, détenteur de ses moyens de production mais n’exploitant finalement que lui-même et/ou sa famille, l’agriculteur résiste à la polarisation sociale du capitalisme.