Pratiquer de l’activité physique adaptée (APA) est recommandé pour gérer la fatigue liée au cancer aux différentes étapes de la maladie. Un exemple dans le cancer du sein à l’occasion d’Octobre rose.
Enthousiasmé par les exploits des champions olympiques français, un nouveau public se presse aux portes des clubs de sport. Comment le fidéliser et répondre aux attentes des jeunes ?
Après 60 ans, l’activité physique classique mais aussi via des jeux vidéo interactifs qui font bouger le corps aide à stimuler les fonctions cérébrales. On fait le point sur les pratiques à privilégier.
Des études préliminaires suggèrent un intérêt de l’activité physique adaptée pour atténuer les symptômes de l’endométriose. Des programmes de recherche sont lancés pour confirmer ces résultats.
Certaines situations de santé, comme les changements hormonaux durant la ménopause, peuvent entraîner une perte osseuse excessive. En prévention, l’alimentation et l’activité physique peuvent aider.
Dans les situations d’anorexie, la pratique sportive a longtemps été proscrite. Mais des travaux de recherche clinique récents suggèrent qu’une activité physique adaptée peut aider à la guérison.
Laura Wallard, Université Polytechnique des Hauts-de-France; Eugénie Avril, Université Polytechnique des Hauts-de-France; Mathias Blandeau, Université Polytechnique des Hauts-de-France; Nawel Ouendi, Université Polytechnique des Hauts-de-France; Philippe Henry, Université Polytechnique des Hauts-de-France et Philippe Pudlo, Université Polytechnique des Hauts-de-France
L’arthrose de la hanche, ou coxarthrose, est une affection particulièrement douloureuse et handicapante au quotidien. Elle peut être efficacement soulagée par une activité physique adaptée.
Des données scientifiques confirment l’intérêt de pratiquer une activité physique adapté pour prévenir les complications liées au surpoids et à l’obésité, en premier lieu le risque cardiovasculaire.
De nos jours, la sédentarité augmente et la durée de vie s’allonge, ce qui accentue le risque de dépendance chez les personnes âgées. Promouvoir l’activité physique pourrait limiter l’ampleur du problème.
Il est bien établi que l'activité physique régulière est bonne pour la santé. Mais attention à ne pas faire n'importe quoi, car dans certains cas, exercice trop intense peut rimer avec infarctus.
Vous êtes peut-être adepte de la douche froide après l’effort… D’une récupération plus rapide à l’effet analgésique, les bienfaits de la cryothérapie seraient légion. Mais qu’en est-il réellement ?
Une enquête inédite montre que la période de retraite est de moins en moins considérée en opposition à celle du travail et indique une évolution dans le profil et attentes des retraités.
Toute notre vie, on nous a dit qu’il fallait adopter une « bonne » posture : s’asseoir droit, se tenir droit, plier les genoux pour soulever des charges… Or, ces conseils ne sont pas vraiment fondés.
Les jeunes devraient pratiquer une activité physique soutenue durant au moins une heure par jour. Le compte n'y est plus : c’est un problème pour leur santé et celle de l’adulte qu’ils deviendront.
Que l’on souffre de maladies chroniques, que l’on reprenne le sport ou que l’on souhaite juste s’entretenir, adapter son activité physique est la clé pour en maximiser les effets santé.
Toujours très présente en France l’insuffisance cardiaque n’est pourtant pas une fatalité. En quoi consiste-t-elle, et comment la prévenir voire la traiter ? Le point sur les nouvelles découvertes.
Un diagnostique de cancer du sein est une épreuve qui laisse souvent démuni. Mais, en complément des traitements, le développement de l'éducation thérapeutique offre de nouvelles armes aux patients.
Reprendre le sport après un long arrêt ne doit pas se faire n’importe comment. Pour revenir à son meilleur niveau sans blessure ni fatigue chronique, il faut procéder par étapes et écouter son corps.
Professeur de Physiologie du travail et de l'exercice /// Ex- CR2C "Spécialiste physiologie du sport " au Commissariat des Armées - HIA Laveran, Aix-Marseille Université (AMU)
Chercheur - Médecin en santé publique, centre hospitalier universitaire de Nice, Clinique Gériatrique du Cerveau et du Mouvement, Université Côte d’Azur