À l’étranger, les grandes institutions se vendent comme des marques. En France, nous ne sommes toujours pas entrés dans la course à l’enseignement supérieur mondialisé.
L’AUF doit se penser comme une agence globale s’appuyant sur plusieurs pôles de rayonnement au service d’un seul projet et d’un idéal commun. Cinq pistes de développement.
Pour comprendre les pratiques de bizutage qui font polémique, il faut se tourner vers l’histoire. Dans l’enseignement supérieur, ces pratiques existent en Europe depuis au moins le XIVᵉ siècle.
L’université n’appartient ni aux étudiants, ni aux gouvernants, ni même aux « enseignants-chercheurs ». Elle est au service de la connaissance et les réformes en cours ne vont pas dans le bon sens.
Plutôt que d’opter pour une globalisation standardisée, les stratégies des écoles de management doivent intégrer et valoriser les différences et les spécificités des expériences des étudiants.
De nombreuses plates-formes en Europe proposent des cours en ligne. Elles doivent permettre de dégager une stratégie commune en faveur d’un portail unique.
Face à leurs conditions de vie fortement dégradées depuis la fin des années 2000, beaucoup d’étudiants doivent trouver des emplois salariés. Or cela nuit à leurs études. Comment concilier les deux ?
Trois mois après le lancement de The Conversation France, l’université de Lorraine, membre fondateur du site, fait un premier bilan de la collaboration entre chercheurs et journalistes sur ce média.
Dans une lettre ouverte à Thierry Mandon, trois chercheurs s’inquiètent de l’état de l’université. Et préconisent des solutions radicales pour ouvrir le débat.
Christian Delporte, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
À travers le hashtag #universitédebout, les enseignants et les étudiants se sont unis contre la barbarie des terroristes qui s’en sont pris majoritairement aux jeunes.
Alexandre Faure, École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS)
Comme Paris-Saclay, le futur campus Condorcet n’intéresse pas seulement la communauté universitaire. C’est aussi un projet politique d’aménagement et d’urbanisme de grande ampleur.
François Robinet, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Le partage du savoir scientifique doit-il passer par le tout-gratuit ? Pas forcément. La défense de l’« Open access » passe par la préservation d’une diversité de modèles et d’expériences.
Moins religieux mais plus moraux, plus à gauche, largement anticapitalistes…Une étude auprès des chercheurs français décryptent leur opinions et valeurs. Pas forcément celles de tout le monde.
Les étudiants ont manifesté leur colère contre les manques de moyens de l’université. De manière très concrète, ce sont les personnels qui trinquent les premiers.
L’internationalisation est une priorité stratégique pour les universités, mas il n’est pas facile de naviguer dans les eaux internationales. Dernier volet de notre série.
Frais de scolarité élevés, baisse significative des financements publics … les universités sud-africaines sont en crise, alors que les étudiants sont descendus dans la rue.
Professeur des Universités en Biochimie, Chef du département Génie Biologique de l'IUT Sénart-Fontainebleau; Président de PROMOSCIENCES, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)