La technique qui consiste à déstabiliser tout le monde pour se montrer plus rassurant peut parfois fonctionner dans une négociation commerciale, moins facilement dans le domaine diplomatique.
Il est possible d’essayer d’imaginer ce que pourrait être, à l’avenir, une politique étrangère qui s’assumerait comme de gauche, à la fois réaliste et portant la marque d’ambitions spécifiques.
Après des mois d’intenses combats, le gouvernement libyen affirme avoir défait les forces de l’État islamique à Syrte. Une victoire qui doit beaucoup au soutien actif des Américains.
Le discours de l’intérêt national est normal de la part des politiques, personne ne souhaitant être accusé d’agir à l’encontre des intérêts de la France. Mais quels sont-ils ?
La tentative de putsch ratée en Turquie et les purges massives qui suivent pourraient avoir des implications négatives sur les relations d’Ankara avec l’OTAN et l’Union européenne.
Construire une alternative sur l’avenir du nucléaire militaire pour les Français et leurs représentants exige de dépasser les publications para-officielles.
Les Vingt-huit se réunissent à Varsovie vendredi et samedi dans un contexte international très dense : Ukraine, Syrie, lutte contre le terrorisme, Brexit… Saura-t-elle à la hauteur de ces enjeux ?
Max Tegmark, Massachusetts Institute of Technology (MIT) dan Frank Wilczek, Massachusetts Institute of Technology (MIT)
La visite du président Obama à Hiroshima est l’occasion de poser la question du coût de de la modernisation de la force de dissuasion. Un enjeu à plusieurs milliards qui se pose aussi en France.
Délaissant l’idée gaullienne de grandeur, la France renoue avec une politique étrangère fondée d’abord sur la puissance. Or soft power et hard power n’ont jamais fait bon ménage.
Après le choc des attentats du 13 novembre, la France veut mobiliser tous azimuts ses partenaires pour intensifier la lutte contre Daech. Mais le succès de cette entreprise est hautement aléatoire.
Analyste en géopolitique, membre associé au Laboratoire de Recherche IAE Paris - Sorbonne Business School, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, chaire « normes et risques », IAE Paris – Sorbonne Business School