Avec des filets à brouillard, on peut capturer l’eau des nuages, comme le font certaines plantes. Une nouvelle méthode utilise maintenant la technique japonaise du « kirigami ».
La fabrication des vêtements, lors de leur production, leur utilisation et leur fin de vie, a un impact sur notre santé. Mais une meilleure connaissance écologique pourrait renverser la vapeur.
Testé à Senlis, ce système tend à valoriser, à l’échelle d’un territoire, les actions de coopération et d’épargne d’énergie menées par ses membres, avec une monnaie indexée sur l’état de la nature.
Sébastien Duperron, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN); Benjamin Marie, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN), and Cécile Bernard, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Microalgues dont la prolifération est dangereuse pour l’humain et l’environnement, les cyanobactéries sont aussi à la base de la production d’oxygène terrestre, et de bien d’autres apports.
Organismes pensés par une IA et créés par l’humain à partir de cellules de grenouilles, les xénobots obligent à repenser nos définitions éthiques et juridiques de l’inerte et du vivant.
Les robots déformables s’inspirent souvent d’êtres vivants, flexibles par nature, pour s’adapter à leur environnement et l’utiliser pour se déplacer, ce qui ouvre de nouvelles applications.
Quel est le point commun entre l’ours et le vol spatial habité vers Mars ? L’atrophie musculaire. Comprendre comment l’ours conserve ses muscles en hiver, permettra de préserver ceux des astronautes.
Si le GPS est actuellement le système de localisation le plus utilisé, la nature, comme souvent, fait mieux que l’humain. Découvrez Antbot, le robot qui se localise comme une fourmi.
Un modèle économique biomimétique ou bio-inspiré permettrait de relancer durablement la croissance. Une croissance en harmonie avec la nature et répondant aux besoins et aspirations des hommes.
La nature est bien faite ! En l’étudiant avec humilité et curiosité, on peut y trouver une infinité de solutions pour imaginer et mettre au point des innovations respectueuses des écosystèmes.
David Hu, Georgia Institute of Technology and Guillermo Amador, Max Planck Institute for Intelligent Systems
S’inspirer du vivant pour créer de nouvelles technologies, voici toute l’ambition du biomimétisme. Exemple avec les poils d’animaux et le nettoyage. Ébouriffant !