La « success story » de la filière équitable repose notamment sur un dialogue maintenu entre des réformistes prêts à des compromis pour élargir le mouvement et les tenants d’une ligne plus radicale.
La production de cacao est fortement concentrée dans quelques pays d'Afrique occidentale, dont la Côte d'Ivoire et le Ghana.
(Shutterstock)
L’engouement des consommateurs pour le chocolat est hélas lié à déforestation illégale d’écosystèmes très protégés. Mais peu à peu, des progrès sont accomplis pour favoriser le commerce éthique.
Longtemps associé aux produits venus des pays en voie en développement, le commerce équitable se développe aussi au niveau des productions françaises.
Geoffroy Van Der Hasselt / AFP
Face aux urgences exacerbées par la crise du Covid-19, il convient de rééquilibrer le partage des revenus dans l’économie en garantissant le prix le plus juste aux producteurs étrangers et locaux.
Magasin bio, ici à Saintes (Charente-Maritime), en octobre 2018.
Georges Gobet/AFP
La sympathie que nous inspire « naturellement » l’amour de ce qui est proche de nous, de notre terroir, doit-elle s’accompagner d’une méfiance grandissante à l’égard de qui ne nous ressemble pas ?
Difficile de distinguer le vrai du faux face à la multiplication des labels environnementaux.
Denis Charlet / AFP
Emily Spiesser, Ademe (Agence de la transition écologique)
Difficile de s’orienter dans la jungle des labels environnementaux qui tapissent les rayons des supermarchés. Une page Internet proposée par l’Ademe aide à consommer autrement.
La consommation éthique, consommation du futur ?
Peter Bond/Unsplash
Dans notre société, la consommation est omniprésente. Elle a des implications individuelles et sociales importantes. Comment mieux consommer ? L’éthique propose des réponses à cette question cruciale.
Si 94 % des Français (selon un sondage OpinionWay pour Max Havelaar) trouvent important que leurs achats garantissent un juste prix pour le producteur, seul 1 foyer sur 3 achète des produits équitables.
En France, le marché du bio est en pleine croissance, avec un chiffre d’affaires passé de 1,6 milliard en 2005 à 5,5 milliards en 2015.
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Comment les grandes entreprises tentent de répondre avec plus ou moins de succès aux attentes des consommateurs en matière de protection de l’environnement.
Distribution de légumes organisée par l’AMAP de Barsac, en 2012.
Adiu Sud Gironde
Les Associations pour le maintien de l'agriculture paysanne (Amap) fournissent fruits et légumes en circuits courts à près de 300 000 personnes en France.