Le président français s'est rendu dans une école des Yvelines le 5 mai afin de rassurer les enseignants et les élèves quant aux prochaines mesures de déconfinement.
Ian Langsdon/AFP
Selon les résultats d’une étude classant les messages des pouvoirs publics les plus efficaces pour inciter à se protéger du Covid-19, femmes et hommes ne sont pas sensibles aux mêmes arguments.
Discours du président au Cirque d'Amiens, sa ville natale le 21 novembre.
Christophe ARCHAMBAULT / AFP
Pour son acte II, le président se présente comme « transformé » par la crise, mais pourtant bien déterminé à assumer le « changement ». Analyse d’une mise en scène.
Jacques Chirac (ici en 2005) aura marqué la vie politique française d’après–Mai 68.
World Economic Forum/Flickr
Pierre Bréchon, Auteurs fondateurs The Conversation France
Une ascension politique très rapide, un grand volontarisme pour arriver à la fonction suprême, une grande longévité dans la gestion des affaires publiques : retour sur le parcours de Jacques Chirac.
Noël au Palais de l'Elysée, le 19 décembre 2018.
Ludovic Marin / AFP
Quelle lecture peut-on faire de ce « moment » assez extraordinaire dans la vie de notre démocratie, où le pouvoir du Président, si ce n’est la Cinquième République, ont paru trembler sur leur base ?
Emmanuel Macron à Versailles, le 9 juillet 2018.
Charles Platiau / AFP
Si tout repose sur l’affirmation d’une incurie radicale de ses prédécesseurs, il va devenir de plus en plus difficile au fil de ces rendez-vous annuels à Versailles de tout expliquer par le passé.
Principal enseignement de la dernière enquête du CEVIPOF : plus on a adhéré aux valeurs du libéralisme économique, plus on apprécie la politique d’Emmanuel Macron.
Emmanuel Macron à Versailles, le 3 juillet 2017, lorsqu'il a convoqué en Congrès le Parlement.
Etienne Laurent/AFP
La Vᵉ République n’assume pas seulement une continuité culturelle avec l’ancien régime, la nature même du régime se fonde sur une ambiguïté institutionnelle permanente.
Le Président Macron en visite sur la base aérienne d'Istres (Bouches-du-Rhône), le 20 juillet 2017.
Arnold Jerocki/AFP
Jusqu’à quand durera la discipline de la majorité actuelle qui doit son élection au Président Macron et joue donc, pour l’instant, le rôle des godillots des premiers temps de la Vᵉ République ?
Emmanuel Macron, devant le Congrès, lundi 3 juillet, à Versailles.
Martin Bureau/AFP
Notre vie politique s’accommode mal d’une parole politique modeste et économe de ses concepts. Le risque est grand alors de verser dans des propos qui sont, par nature, totalement irréfutables.
Emmanuel Macron, le 1er juillet, au Parlement européen de Strasbourg.
Sébastien Bozon / AFP
À l’opposé de la « présidence normale » de son prédécesseur, le président Macron souhaite renouer avec la conception présidentialiste des institutions voulue par le général de Gaulle.
Le Président Macron lors de sa visite au Mali, le 19 mai 2017.
Christophe Petit Tesson/AFP
Si cette prise en main de la lutte contre le terrorisme par le président de la République témoigne de sa ferme volonté de protéger les Français, sa mise en œuvre pourrait se révéler difficile.
François Hollande a pris acte de l'impossibilité de sa réélection avec une majorité en lambeaux.
Lionel Bonaventure / POOL / AFP
Jamais un président élu achevant son mandat avec une majorité parlementaire n’a été réélu. Une étrange malédiction qui éclaire aussi la non-candidature de François Hollande.
François Hollande à la sortie de l'avion présidentiel, le 2 décembre 2016, à Abu Dhabi.
Stépahne de Sakutin / AFP
Le retrait de l'actuel président de la course présidentielle pourrait bien être annonciateur de profonds bouleversements politiques aux conséquences inattendues.
Le 1er décembre 2016, en direct de l'Élysée, François Hollande annonce qu'il ne se représentera pas.
Olivier Morin/AFP
En renonçant à se présenter, François Hollande introduit une rupture majeure qui pèsera lourd sur les épaules des prochains présidents de la Vᵉ République.
François Hollande, le 20 octobre, à Paris.
Régis Duvignau/AFP
On se perd dans ce tourbillon où les paroles ne se contentent plus de voler, mais restent sous la plume des journalistes. Tandis que le sens de l’État se disperse dans le vent de la déliquescence.
François Hollande lors d'un sommet tripartite en Italie, le 22 août, le pouvoir et l'impuissance.
Vincenzo Pinto / AFP
Les « conversations privées » du président parues dans un livre sont un éloquent témoignage du désarroi et du décalage de nos représentants avec un monde qu’ils ne comprennent plus.
François Hollande et son ministre de l'intérieur le 18 juillet durant la minute de silence Place Beauvau.
Bertrand Guay/AFP
Analyse des derniers épisodes de la communication présidentielle à la lumière de ce que doit être aujourd’hui une communication responsable et honnête. Notamment en période de crise.