Sabrina Grillo, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Le choix des couleurs en politique n’est jamais anodin, comme le montre l’étude des dernières décisions prises en la matière par les principales formations espagnoles.
Les dirigeants du PSOE, Pedro Sánchez, et de Podemos, Pablo Iglesias, se serrent la main après avoir signé l'accord préalable visant à former un gouvernement de coalition.
Gabriel Bouys/AFP
Lisa Zanotti, Diego Portales University and José Rama, Universidad Autónoma de Madrid
L’Espagne vient de se doter d’un gouvernement de coalition qui pourrait réussir, même si l’absence d’une majorité stable annonce de nombreuses difficultés.
Le premier ministre Pedro Sanchez se retire après une déclaration quant à l'exhumation de l'ancien dictateur Francisco Franco, Madrid le 24 octobre 2019.
PIERRE-PHILIPPE MARCOU / AFP
Les mobilisations indépendantistes en Catalogne constituent une nouvelle occasion pour l’extrême droite d’avancer des pions dans le jeu politique espagnol.
Le premier ministre Pedro Sanchez (à gauche) accueillant le dirigeant de Ciudadanos Albert Rivera au Palais de La Moncloa à Madrid, le 7 mai 2019.
Gabriel Bouys / AFP
C'est la première fois que ce parti en pleine ascension entre au Parlement national après deux échecs successifs lors des élections générales de 2015 et de 2016.
Les partisans du Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE) célèbrent la victoire devant le siège du parti à Madrid, le 28 avril 2019.
Javier Soriano/AFP
Un parti socialiste ressuscité, des conservateurs aux abois, Podemos en arbitre et le mouvement Vox qui entre au Parlement : c’est un nouveau paysage politique qui a émergé en Espagne ce dimanche.