Métamorphose de la transmission et de l’appropriation des connaissances, ainsi que les interactions, les interconnections et les porosités entre les acteurs étudiants, enseignants et la société.
« Treasures from the wreck of the unbelievable », tel était le mystérieux titre de la dernière exposition présentée au palazzo Grassi et à la Punta della Dogana, à Venise.
Malgré les progrès technologiques que l’humanité a connus pendant des millénaires, le niveau de vie n’a commencé à progresser qu’aux alentours de 1800.
Ce qu’a créé Michel-Ahmed Talata, fils de Harki ayant grandi avec un père taiseux, pour rompre la chaîne du silence et de la colère (que symbolise le carton) et transmettre l’histoire familiale.
Comment s'explique le déplacement des œuvres, phénomène constant depuis l’Antiquité ? Et comment les objets d’art cristallisent-ils les enjeux politiques et identitaires ?
Plutôt qu'un parangon de la culture populaire, Johnny Hallyday est le symbole du divertissement, élevé au rang d'art par les politiques publiques depuis les années 1980.
« Vous êtes physicien ? » me demande Giuseppe Penone au Musée de Grenoble. Un peu surpris, je réponds : « Oui, professeur de physique. » Il me demande ensuite : « Vous pourriez sculpter un grain de sable ? »
Avec « Mujercitas », Núria Pompeia signa une satire pédagogique au service de la libération de la femme, opposant les stéréotypes franquistes associés aux femmes et la réalité de la lutte féministe.
Les œuvres d’art aussi ont droit aux analyses physico-chimiques les plus poussées dans le but de comprendre comment elles furent créées et ainsi pouvoir les restaurer de la meilleure des manières.
Cessons d’opposer l’art et la science, la subjectivité humaine qui sous-tend l’acte de création à l’objectivité scientifique des règles qui régissent le monde dans lequel nous vivons.
Le Festival Arts Créativité Technologies Sciences investit durant 10 jours le campus et les différents lieux culturels emblématiques de la métropole bordelaise.
Dans le cadre du Festival des Idées, consacré cette année à « L’amour du risque », l’artiste ORLAN répond aux questions du physicien Joël Chevrier, autour de son rapport à la sphère scientifique.
Une équipe de chercheurs canadiens en collaboration avec un artiste sculpteur, Philip Beesley, ont mis au point une sculpture robotique interactive capable de curiosité.
Une visite des terres Maasai serait incomplète sans l’achat d’accessoires « typiques ». Or, ces derniers sont en réalité le résultat d’une rencontre de longue date entre l’Afrique et l’Europe.
Par-delà la manière dont les institutions conforment et assujettissent les individus, l’art et l’artiste permettent-ils d’activer des foyers de résistance ?
Myriam Boucharenc, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
En 1927, plusieurs marques décident de créer un « Prix de littérature publicitaire » avec 35 000 francs à la clé. Journalistes et écrivains s’interrogent : peut-on mélanger littérature et publicité ?
Professeure de management stratégique, directrice des programmes du MSc Arts & Creative Industries Management à Paris et de la partie française de l'Institut Franco-Chinois de Management des Arts et du Design à Shanghai, Kedge Business School
Enseignante certifée (lettres modernes, sciences de l'information et de la communication, FLE), autrice (France Culture, Radio Nova, Joca Seria), Université Sorbonne Paris Nord