Le débat en France néglige des phénomènes pourtant centraux et qui sortent de la seule question du choix entre libre-échange et protectionnisme : les politiques commerciales sont toujours mixtes.
La nette victoire de Donald Trump n’a pas été anticipée par la communauté scientifique américaine. L’auteur, qui a vécu le choc en direct sur le campus de Harvard, raconte.
Les questions posées par la mondialisation dominent les agendas politiques, les organisent et surtout les dramatisent. La dernière élection présidentielle américaine en est la preuve.
Pascal Moliner, Université Paul Valéry – Montpellier III
Comment l’incroyable a-t-il pu se produire ? L’élection de Donald Trump était-elle aussi imprévisible qu’il y paraît ? Les recherches sur le phénomène de « zone muette » suggèrent le contraire.
Quel sera l’impact de l’élection de Donald Trump comme président des États-Unis sur les négociations climatiques et la mise en œuvre de l’Accord de Paris ?
Après la war fatigue qui avait saisi le pays à l’issue de la période néoconservatrice de George W. Bush, le risque d’une world fatigue est grand, après l’ouverture au monde de Barack Obama.
Le discours de l’intérêt national est normal de la part des politiques, personne ne souhaitant être accusé d’agir à l’encontre des intérêts de la France. Mais quels sont-ils ?
La France de 2022 sera-t-elle totalitaire ? Le 2ᵉ tome du roman graphique signé François Durpaire et Farid Boudjelall est un exercice de politique-fiction qu’il s’agit de prendre au sérieux.
Lors du troisième et ultime échange entre les deux candidats, Donald Trump a menacé de ne pas reconnaître son éventuelle défaite, accusant le camp démocrate de fraudes.
En Europe centrale, les régimes en place utilisent les ressources de leurs prédécesseurs libéraux pour financer des programmes qui compromettent l’égalité hommes-femmes.
Son ton nouveau et sa capacité de jouer le rôle du chien dans un jeu de quilles lui avait donné une emprise sans précédent sur la campagne. Mais cette nouveauté n’a pas duré : tout passe, tout lasse.
La combinaison de deux paramètres essentiels – situation économique et charisme du candidat – jouait en faveur du prétendant républicain. Voici comment un modèle le prévoyait.
La générosité des discours sur l’ouverture aux autres ne serait-elle qu’un bel emballage d’une entreprise de relégation des catégories populaires ? Analyse du dernier livre de Christophe Guilluy.
Le second débat a été extrêmement tendu et tout aurait pu déraper à n’importe quel moment. Aucun des candidats n’a réellement pensé à développer des points en rapport direct avec leurs électeurs.
La montée en puissance de l’AfD, qui induit en même temps le recul de l’extrême droite néonazie, bouscule le paysage politique allemand sans en menacer la stabilité.