On l'a dit et répété : manger sainement, c'est manger varié. Et cette variété s'entend en réalité du champs à l'assiette, de la fourche à la fourchette. Explications.
Philippe Frouté, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Les conséquences économiques du confinement et l’expansion du Covid-19 en Afrique impliquent de repenser les institutions de protection de la propriété intellectuelle dans le domaine de la santé..
S’il infecte surtout les voies respiratoires supérieures, le SARS-CoV-2 attaque aussi d’autres organes. Le cerveau en ferait partie, ce qui pourrait expliquer certains troubles cognitifs.
Les cours d’éducation physique et à la santé vont devoir être donnés en format « distancié », mais ils devront continuer d’être valorisés et maintenus à l’horaire peut importe les circonstances.
Une connaissance du trouble longtemps focalisée sur les enfants et un a priori négatif sur les médicaments expliquent en partie le sous-diagnostic du TDAH de l’adulte. Il est grand temps d’y remédier.
Michel Guillot, Institut National d'Études Démographiques (INED) and Myriam Khlat, Institut National d'Études Démographiques (INED)
Les données actuelles indiquent que la baisse de l’espérance de vie en France en 2020 par rapport à 2019 devrait être modeste, malgré l’épidémie de Covid-19 qui a frappé notre pays. Pourquoi ?
Lorsqu’on interroge les soignants sur les raisons de leur engagement, la « vocation » est souvent invoquée. Mais les enquêtes sociologiques révèlent d’autres éléments d’explication, parfois intriqués.
Beaucoup de jeux vidéo sont centrés sur des virus. Particulièrement réalistes et immersifs, ils ont un fort potentiel pédagogique, certains étant même utilisés dans des parcours universitaires.
Pour mieux anticiper et gérer l’irruption de nouvelles pandémies, il faut changer de paradigme et tenir compte des interactions complexes entre santé humaine, santé animale, environnement et économie.
On ne peut se contenter de diffuser des messages sur les gestes barrières pour que les comportements changent durablement. Mais quel accompagnement promouvoir pour une véritable éducation en santé ?
Elba Astorga, The Conversation and Camille Khodor, The Conversation
La pandémie fait toujours rage, et pas seulement en matière de santé. En six mois, tous les paramètres socio-économiques ont changé dans le monde entier et peut-être de façon permanente.
L’infection par le SARS-CoV-2 s’accompagne parfois d’une perte d’odorat. La bonne nouvelle ? Celui-ci devrait très probablement être de retour une fois l’infection terminée. Plus ou moins vite.
Si la durabilité des systèmes alimentaires est menacée aujourd’hui par un excès de calories d’origine animale, elle l’est également, et c’est bien moins connu, par les calories ultratransformées.
Les accidents vasculaires cérébraux sont en augmentation. Si le vieillissement, le tabagisme ou l’hypertension sont pointés du doigt, la question de l’influence du temps de travail est aussi explorée.
Sida, Ebola, SARS, MERS, Zika, Covid-19… Les nouvelles maladies se sont multipliées durant les dernières décennies. Comment naissent les épidémies et que faire pour mieux les anticiper ?
La crise sanitaire a révélé au grand jour les conditions de travail difficiles au sein de ces établissements soumis à des normes de management visant la standardisation et la performance.
Le coronavirus n’a pas seulement mis à mal les corps, il a également révélé les faiblesses de nos sociétés. Comment tirer parti de cette épidémie pour renforcer notre démocratie ?
Un essai clinique indique que la dexaméthasone, une hormone de synthèse, pourrait aider à soigner certains patients atteints de formes sévères de Covid-19. Ces résultats sont toutefois préliminaires.
Professeur des universités, médecin hospitalier, Inserm 1107, CHU Clermont-Ferrand, Président de la Fondation Institut Analgesia, Université Clermont Auvergne (UCA)
Psychiatre du sujet âgé, chercheur associé au Laboratoire interdisciplinaire d'étude du politique Hannah Arendt (Université Paris-Est Créteil), co-directeur du département de recherche Éthique biomédicale du Collège des Bernardins, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Professeur Emérite de Nutrition Université Sorbonne Paris Nord (Paris 13) - Praticien Hospitalier Département de Santé Publique, Hôpital Avicenne (AP-HP), Equipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle, U1153 Inserm,Inra,Cnam, Université Sorbonne Paris Nord
Maitre de Conférence Université Paris 13, Praticien Hospitalier, Hôpital Avicenne (AP-HP), Equipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle, U1153 Inserm,Inra,Cnam, Université Sorbonne Paris Nord