Par le rejet unanime qu’il suscite, le plan de paix proposé par Donald Trump pour résoudre le conflit israélo-palestinien va-t-il rapprocher les factions palestiniennes rivales ?
Deux œuvres cinématographiques participent à la redéfinition de la représentation des forces armées en Israël, et à la mise en lumière des paradoxes politiques du pays.
La campagne du candidat Gantz semble ainsi s’inscrire à la droite de Benyamin Nétanyahou, n’hésitant pas à mettre en avant les morts palestiniens comme preuve de la détermination de l’ancien général.
Ahed et Malala ont le même âge et se battent pour les mêmes droits et libertés. Toutes deux ont vécu la violence armée. Pourtant le traitement médiatique de leur histoire a été radicalement éloigné.
Les élections législatives en Israël pourraient annoncer une politique encore plus brutale pour les Palestiniens. L'occasion de découvrir un documentaire plongé sur la réalité d'un territoire devenu frontière.
Un projet écologique autour de la conservation des chouettes orfraies a permis de rassembler autour d’une même table Israéliens, Jordaniens et Palestiniens. Un pas de plus vers la paix ?
Les Nations unies doivent prochainement publier une base de données sur les groupes privés présents dans les Territoires occupés palestiniens. Israël et les États-Unis s'y opposent.
Un siècle après la déclaration Balfour, qui concédait au mouvement sioniste la création d’un Foyer national juif en Palestine mandataire, où en est le sionisme ?
Catherine Le Bris, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
En distinguant l’idéologie et le processus qui sous-tendent la colonisation, d’une part, et leurs conséquences pratiques, d’autre part, Emmanuel Macron aurait pu voir juste sur un plan juridique.
Si l’heure n’est plus aux grandes mobilisations d’antan, les partisans de la paix ne se sont pas volatilisés. Une myriade d’ONG agit, souvent dans l’angle mort des médias.
Drapeaux palestiniens dans les tribunes, de la droite extrême israélienne dans d’autres. Ce qui est considéré comme choquant par l’UEFA en dit long sur la dissymétrie de traitement politique.
La France souhaite relancer le processus de paix entre Israéliens et Palestiniens. Mais au-delà de cette bonne volonté, en a-t-elle encore les moyens ?
Elena Astafieva, École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS)
Pour mieux comprendre la politique russe dans les pays du monde arabe, il faut l’inscrire dans la longue durée. Et étudier ce qu’à l’époque tsariste on appelait « la question d’Orient ».
À l’instar des générations précédentes, la jeunesse palestinienne tente de se faire entendre à travers le soulèvement désorganisé qui est en cours à Jérusalem et en Cisjordanie.
Jérusalem a toujours été un point de fixation du conflit israélo-palestinien. Mais aujourd’hui, les tensions y prennent un tour religieux très inquiétant, car fermé à toute forme de dialogue.
Dans ce territoire occupé par Israël depuis 1967, deux régimes distincts du droit du travail s'appliquent. Un réalité choquante avalisée par les plus hautes autorités israéliennes.
Doctorante associée à l'Institut de Recherche Stratégique de l'École Militaire en science politique et relations internationales (CMH EA 4232-UCA), Sciences Po
Chercheure associée à l’Institut français du Proche-Orient (IFPO – Beyrouth) et membre du Conseil arabe des sciences sociales, Fondation Maison des Sciences de l'Homme (FMSH)
Professeur de sociologie politique. Chercheur au Centre d’études en sciences sociales sur les mondes africains, américains et asiatiques (CESSMA), chercheur associée au Centre d'Etudes et de Recherche Moyen-Orient, Méditerranée (CERMOM) , Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)
Responsable du Département International Relations and Diplomacy, Schiller International University - Enseignante en relations internationales, Sciences Po