La plateforme de recherche #Idéo2017 montre que si le mot « islam » est peu représentatif des tweets de Marine Le Pen, ses dérivés en -iste et -isme le sont beaucoup plus.
Scène de collage à Rennes, le 10 avril 2017.
Damien Meyer/AFP
La dernière enquête réalisée par le Cevipof montre que 43 % des électeurs sont encore indécis dans leur choix. Elle montre aussi que le vote se fera en grande partie par défaut.
Les deux candidats se saluent, lors du débat télévisé du 4 avril 2017.
Lionel Bonaventure/AFP
Moins idéologiques que Fillon et Le Pen, les deux candidats partagent nombre de propositions. Avec un point saillant dans le programme très approfondi de Jean-Luc Mélenchon : la justice.
Au Centre d'accueil et d'orientation pour migrants de Saint-Brévin les Pins, en janvier 2017.
Loïc Venance/AFP
Dans un contexte de forte incertitude électorale, les marges d’erreur des sondages rendent visibles tous les scénarios électoraux potentiels. Les médias devraient publier les résultats avec ces marges.
Hervé Le Bras, Auteurs historiques The Conversation France
C’est bien connu, les pauvres votent FN… Sauf qu’il s’agit, en bonne partie, d’une idée reçue. La géographie du Front national est celle des territoires démunis, ce qui n’est pas la même chose.
Lors d'une manifestation étudiante en 2009, à Paris.
Frog and Onion/Flickr
Passage en revue, et dans le détail, des programmes des cinq principaux candidats à la présidence de la République sur l’un des thèmes majeurs de l’élection.
François Fillon, en meeting à Provins, le 5 avril 2017.
Christophe Archambault/AFP
Pascal Moliner, Université Paul Valéry – Montpellier III
Les sondages qui donnent tous Marine Le Pen perdante à l’issue du deuxième tour pourraient bien être confrontés à une zone muette sous-jacente et donc à un vote caché en faveur du Front national.
La Boussole présidentielle montre que le candidat Emmanuel Macron est plus libéral que son allié François Bayrou.
acques Demarthon/AFP
Le placement des onze candidats dans l’espace politique de la Boussole présidentielle révèle des positionnements très marqués. Et quelques surprises, concernant Macron ou Mélenchon.
La façade du ministère de la Culture.
Paul Haahr/Flickr
Quand un « trio infernal » – contexte anxiogène, peuple fatigué, aspirants tyrans – est réuni, la démocratie est en grand danger de basculement. Et la France n’est pas naturellement immunisée.
Débat cathodique, le 13 octobre 2016.
Martin Bureau/AFP
Qui sont les électeurs qui, en se saisissant de cette nouvelle modalité de participation politique, ont doté d’une si forte légitimité un candidat pourtant ébranlé par les controverses ?
Benoît Hamon, le candidat PS, en butte à une série de « trahisons » dans son propre camp.
Philippe Lopez/AFP
La montagne des primaires a accouché de deux figures étranges : à gauche, un candidat engoncé dans un costume trop grand pour lui ; à droite, un candidat revêtu d’un costume taché.
Couverture de La Présidente tome 3, « La vague ».
Les Arènes
Avec la sortie du troisième tome de leur BD, François Durpaire et Farid Boudjellal continuent l’histoire d’un temps futur, quand Marine Le Pen rejoint la vague de populistes au pouvoir.
Marionnette ancienne de Guignol à Lyon.
Luc Legay/Flickr
S’agissant d’un événement unique – une élection présidentielle – la notion de probabilité, si elle donne une appréhension de ce qui devrait se passer, ne dit rien sur ce qui va vraiment se passer.
Emmanuel Macron, à Rennes en septembre 2016.
Damien Meyer/AFP
Bien qu’assez largement intéressés par l’élection présidentielle (73 %), les plus jeunes ne manifestent pas de réels signes de mobilisation pour la campagne telle qu’elle se déroule.
Les cinq participants au débat inédit du 20 mars 2017 sur TF1.
Patrick Kovarik/AFP
L’élection au suffrage universel peut et doit être maintenue, à condition d’entreprendre des réformes tenant compte de la tripolarisation politique et des nouvelles exigences morales.
François Fillon en campagne, le 2 mars 2017, à Nîmes.
Pascal Guyot/AFP
L’impact des médias réside moins dans le poids des révélations sur tel ou tel candidat que dans l’orientation des électeurs sur certaines figures ou thèmes de campagne.