Face à l’ampleur de la polémique, l’enseigne de sport a préféré renoncer à la commercialisation du produit controversé qu’elle est légalement en droit de vendre.
On attribue des dons hors du commun aux sportifs et musiciens qui excellent. Mais leur réussite doit beaucoup au travail et à l’entourage. Et si tous les enfants étaient des champions en herbe ?
Faire du sport, c’est bon pour la santé, on le sait. Mais on sait moins que des programmes d’activité physique soignent et peuvent guérir certaines maladies.
Un équipage de jeunes et de seniors, d’hommes et de femmes, avec ou sans handicap, participe à des courses de voile contre des professionnels, et montre que la diversité peut être une vraie richesse.
Se faire des amis n’est pas toujours si évident pour les enfants. Voici quelques conseils pour les parents et enseignants qui veulent les aider à poser les bases d’une vie sociale épanouie.
L’adoption du concept de fake perfs dans nos esprits marquerait une avancée significative vers une acculturation au sport propre et plus globalement à la performance éthique.
Après la pub #MeToo de Gillette, un thérapeute nous dit comment les publicités du Super Bowl l'ont déçu. Mais la conversation se poursuit sur la «masculinité toxique».
Des professeurs d’ESCP Europe ont mis en lumière les bonnes pratiques pour déployer mondialement une stratégie RSE au travers du cas de l’équipementier Asics.
Les établissements de formation en management auraient beaucoup à gagner s'ils s'inspiraient de ce qui se passe dans le sport professionnel. Explications.
Pourquoi le sport professionnel est-il devenu l’objectif à atteindre pour des milliers de jeunes issus des pays du sud et à travers lequel ils redéfinissent leur futur ?
La recherche s’intéresse généralement aux organisations qui se trouvent dans des situations qui mêlent coopération et compétition. Mais l’étude au niveau de l’individu est aussi riche d’enseignements.
François Hug, Institut Universitaire de France (IUF)
Nous utilisons pour nos mouvements des combinaisons de muscles différentes pour chaque individu. L’impact de ces différences sur la performance sportive est un sujet d’étude passionnant.
Alors que l’on pouvait s’attendre à une forte résistance de la part du plus grand nombre devant le fléau qu’est le dopage, il n’en est rien dans les faits.
Marie-Cécile Naves, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Produire des rapports ne suffit pas : le courage politique s’incarne dans la mise en place de dispositifs concrets dont les retombées doivent être évaluées scientifiquement et de manière indépendante.
S’il est acquis que le mode d’organisation du sport français nécessite une profonde rénovation, le caractère radical de la réforme génère des incertitudes qui doivent être exprimées.
Les filles et les jeunes femmes continuent à être insuffisamment actives physiquement et l’écart avec les hommes s’élargit. Elles ont une relation complexe avec l’activité physique et avec leur corps.
L’analyse d’os anciens, vieux de centaines ou de milliers d’années, suggère que notre squelette est aujourd’hui plus fragile que celui de nos ancêtres. Ce qui n’est pas sans conséquence.
Dans le sport, les entraîneurs calmes obtiennent généralement de meilleurs résultats que les plus agités. Une tendance que l’on retrouve chez les managers en entreprise.
Nos sociétés construisent des vainqueurs dont les qualités sont rapidement et systématiquement remises en cause, oubliant le rôle pourtant essentiel du hasard.
Docteur en Études slaves contemporaines : spécialiste de la géopolitique de la Russie et du sport, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Professeur des Universités en Physiologie de l'Exercice / Neurosciences Intégratives, Directeur Unité Recherche EuroMov Digital Health in Motion, Université de Montpellier