Elisabeth Pruegl, Graduate Institute – Institut de hautes études internationales et du développement (IHEID)
Les entreprises proposent des clefs face aux inégalités de genre tout en continuant à générer du profit. Or ces pratiques présentent de nombreuses contradictions.
Le marketing sensoriel vise à solliciter les sens des clients pour influencer leurs pratiques de consommation. Mais il peut être utilisé dans d’autres buts que déclencher un acte d’achat.
Quand l'attente se fait interminable, les sites touristiques ont recours à des recettes marketing bien précises, afin de la rendre agréable…voire évitable.
Presque un spectateur sur deux se déplacerait sur les étapes avant tout pour plonger dans ce grand bain publicitaire, dont le succès repose sur le principe de la gratuité.
Le fait de vouloir imiter les autres, théorisé par le philosophe René Girard, serait un moteur puissant de la consommation. Pour le pire… ou pour le meilleur.
Comment s’explique l’essor des biopics, alors que de nombreux critiques soulignent qu’ils font rarement de grands films en raison de leur académisme ou de leur prévisibilité ?
Le neuromarketing prétend utiliser l’imagerie cérébrale pour décrypter et influencer les comportements de consommation. Mais en l’état actuel des connaissances, son utilité reste à prouver.
Comment s’adapter dans un monde digital ? Et comment mettre en place ces pratiques de changement au plus vite ? Découvrez les réponses de trois enseignants-chercheurs de l’EM Lyon Business School…
Hajer Kefi, PSB Paris School of Business y Daniel Maar, PSB Paris School of Business
Le changement du marché du luxe, porté par plusieurs tendances de fond comme l’importance croissante des « millennials », contraint les marques à revoir leurs pratiques.
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les visuels non symétriques des marques dites « excitantes » ont plus d’impact. Certains logos emblématiques mériteraient ainsi d’être redésignés.
Isabel Kusche, Réseau français des instituts d’études avancées (RFIEA)
Souterraine, elle peut générer des attentes inconciliables dans l’électorat, une forme de « clientélisme numérique » dans lequel chacun se voit promettre ce qu’il veut.
De plus en plus d’acteurs misent sur les travaux chez les particuliers comme levier de croissance. Mais le marché est plus difficile à conquérir que les indicateurs ne le laissent penser.
Selon le fonds Barington, les dirigeants de la célèbre enseigne américaine de lingerie incarneraient une gouvernance d’un autre temps incapable de comprendre les attentes des consommateurs.
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)