L'aide au développement a ses problèmes. Néanmoins, elle est cruciale pour réduire l'extrême pauvreté. Et elle favorise d'importantes relations internationales qui profitent à tous les Canadiens.
Manon Ott, Université d’Evry – Université Paris-Saclay
Comment vit-on dans ces anciennes banlieues ouvrières en mutation ? Comment s’y engage, ou non, la jeunesse actuelle ? Un documentaire explore un pan méconnu de la banlieue des Mureaux. Extraits.
Les difficultés socioéconomiques de certains individus ou groupes tiennent plus de leur rapport au monde que d’un manque d’opportunités en tant que tel.
Les blocages à l’échelle nationale nous aident à comprendre, par analogie, comment les restrictions à la mobilité internationale génèrent des pertes économiques.
Sa mise en place ne répond pas à un dogme, mais à une volonté concrète de fluidifier les échanges au cœur du continent afin d’en faire un socle pour le développement de l’Afrique.
La vigilance est toujours conçue comme une lecture attentive d’informations relatives à des événements attendus, alors qu’elle repose avant tout sur la capacité à imaginer des phénomènes inattendus.
On dit qu’il est bon d’associer les personnes aux choix qui les concernent, principe souvent appliqué mollement. À la bagagerie pour SDF Mains Libres, on ne transige pas, avec des résultats étonnants.
Envoyer nos surplus alimentaires à des organismes de bienfaisances est une solution simpliste et moralement douteuse. Elle ne règle rien au problème qui cause la faim: la pauvreté.
Selin Ozyurt, Agence française de développement (AFD); Florian Léon, Agence Universitaire de la Francophonie (AUF) y Luc Jacolin, Université Clermont Auvergne (UCA)
Les politiques de change dans les pays pauvres sont avant tout considérées comme un outil de stabilisation macroéconomique. Mais elles peuvent également être un levier de développement durable.
Comment comprendre les mécanismes psychologiques qui entretiennent et nourrissent la rumeur anti-Roms au point de déclencher de véritables assauts organisés à leur encontre ?
Le régime des inégalités multiples engendre une société de la colère. Nous y sommes. Il faut la comprendre pour être capables de résister aux vertiges de l’indignation.
Il faut trouver des mesures de nature à satisfaire des aspirations à court terme, même si elles seront considérées comme insuffisantes par les « gilets jaunes » compte tenu du rejet massif du Président.
Si l’on entend favoriser une sortie de crise, il conviendrait, tout d’abord, d’éviter tout ce qui pourrait de nouveau alimenter des débats et polémiques nuisibles à la cohésion sociale.
Depuis janvier 2018, le gouvernement se résout à employer ce terme disparu depuis des années, affichant une approche plus sociale qu’administrative ou sécuritaire, non sans quelques ambiguïtés.
Chargé de recherche, Fondation pour les Etudes et Recherches sur le Développement International (FERDI); Chercheur associé au CERDI (UMR UCA-CNRS-IRD), Université Clermont Auvergne (UCA)
Professeur de droit public, directeur du Centre d'études et de recherches en sciences administratives et politiques (CNRS), Université Paris-Panthéon-Assas
Economiste. Chercheur associé au Laboratoire d'Economie Dionysien (EA 3391), Université Paris 8. Enseigne l'économie et l'éthique à Neoma Business School et à l'Institut Catholique de Paris (campus de Reims), Neoma Business School