L’appartenance générationnelle se situe au confluent de l’expérience personnelle et de l’aventure collective.
Moins attachés que leurs aînés au modèle du repas structuré en entrée-plat-dessert, les jeunes apprécient les solutions « prêtes à consommer ».
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Si les jeunes apprécient de se retrouver entre amis dans les fast-foods, ils font aussi partie d’une génération soucieuse de l’environnement, ce qui fait émerger de nouvelles habitudes alimentaires.
Selon une étude du cabinet de conseil Kantar, trois jeunes sur quatre s’attendent à pâtir des conséquences de la situation économique actuelle dans le futur.
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Élodie Gentina (IÉSEG School of Management) a étudié la génération Z dans 12 pays d’Asie. Elle vous fait découvrir ce qui caractérise aujourd’hui les jeunes Japonais, Chinois et Indiens.
L'Inde est l'un des pays qui affichent les résultats les plus élevés en termes de bonheur de la population.
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L’éducation des jeunes indiens leur permet de s’épanouir et malgré des inégalités persistantes, leurs habitudes de consommation évoluent, notamment vers le numérique.
Les jeunes Chinois consacrent en moyenne 30 heures par semaine sur les réseaux sociaux.
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La politique de l’enfant unique et la culture traditionnelle rendent les parents chinois très exigeants envers leurs enfants, qui tendent aujourd’hui à se réfugier dans le numérique.
La génération Z représente 14 % de la population japonaise, un taux parmi les plus faibles au monde.
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Les catastrophes de 2011 ont poussé la jeunesse japonaise à être plus prudente, ce qui entrave ses désirs d’émancipation de la culture traditionnelle.
En Chine, la politique de l’enfant unique menée entre 1978 et 2015 a eu des incidences sur l’éducation et les comportements des adolescentes d’aujourd’hui.
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Si, presque partout dans le monde, les jeunes nés après 1997 partagent un intérêt pour certaines grandes marques, ils ne constituent pas une cible homogène pour les marketeurs.
Dans certaines cultures, la quête d’approbation sociale amène les adolescents à consommer des produits de luxe pour être en adéquation avec leur groupe de pairs.
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Les adolescents chiliens, américains ou français construisent différemment leur estime de soi, et donc leur rapport au luxe.
Pour les jeunes qui arrivent sur le marché du travail, réussir signifie surtout être en cohérence avec ses valeurs et son ambition.
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Recruter la nouvelle génération de diplômés constitue la meilleure décision pour les entreprises. Mais la crise ne les exonèrera pas de la question du sens et de l’impact sociétal des emplois.
L’adolescent innovateur exerce un pouvoir de référence qui entraîne une volonté d’identification et d’imitation de la part de son entourage.
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Selon une étude, les contributions des « digital natives » qui présentent des besoins d’assimilation et de différenciation sociale peuvent s’avérer particulièrement précieuses.
Les réseaux sociaux permettent aux natifs du numérique de compenser l'état d’isolement qu'ils peuvent ressentir.
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Les interactions en ligne favorisent notamment le développement des compétences sociales au moment de l’adolescence.
Des étudiants participent à une grève climatique mondiale en septembre 2019 à La Nouvelle-Orléans, en Louisiane.
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Les réticences des baby-boomers face à l’urgence climatique pourraient être levées par des actions de sensibilisation davantage centrées sur ce qu’ils laisseront à leurs propres descendants.
Les jeunes Français ont grandi en apprenant à faire attention aux prix.
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L’étude des caractéristiques prêtées aux générations Y ou Z laisse penser que les différences avec leurs aînés, largement exagérées, servent avant tout des intérêts bien précis…
Présentation de la collection 2019 de Gucci, principale responsable des très bons résultats du groupe Kering.
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L'industrie du luxe va bien, et 2017 a été l'année de tout les records. Pour continuer sur cette lancée, les marques vont devoir faire évoluer leurs stratégies. Quels seront les facteurs du succès ?
La génération des baby-boomers à la retraite, s'avance celle des Z.
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Les baby-boomers sont désormais à la retraite. L’identité générationnelle de leurs successeurs s’est renforcée, jusqu’à l’arrivée de l’iconoclaste génération Z. Plus dure à manager que ses aînées ?
Ultra-connectée, la génération Z a un rapport à l'information différent de ses aînés.
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L’émergence du numérique bouleverse les rapports privés ou professionnels. Férues de digital, les nouvelles générations ont beaucoup à apporter aux organisations. Il faut juste savoir leur parler.
En ces périodes de forte dissonance entre Millennials et « ceux qui étaient là avant », la nécessité d’imaginer des modes d’intercompréhension et d’interactions créatrices devient stratégique.