La choc d’offre se double d’un choc de demande qui pourrait s’avérer durable, notamment des les pays occidentaux, obligeant les maisons à devoir accélérer les mutations du secteur déjà entamées.
Dans le mouvement de consolidation que connaît aujourd’hui le secteur du luxe, les cibles potentielles se font de plus en plus rares pour les grands groupes…
Le conseil d’administration du joaillier américain souhaiterait un relèvement de l’offre formulée par le N.1 mondial du luxe, mais plusieurs raisons devraient l’inciter à ne pas être trop gourmand…
Emmanuel Véron, Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco)
La visite d’Emmanuel Macron en Chine a mis en lumière toute la complexité de la relation entre Paris et Pékin. C’est peut-être à l’échelon européen que cette relation devrait s’inscrire à l’avenir.
Le numéro un mondial du luxe a toutes les raisons de s’intéresser au prestigieux groupe américain de joaillerie, qui a lui tout intérêt à négocier à la hausse le prix de l’acquisition.
Pour une montre, les réponses des sondés dans sept pays différents s’échelonnent entre 100 et 12 000 euros. Cette hétérogénéité incite les marques à penser en termes de portefeuille de marques.
En s’associant à l’icône mondiale pour lancer une maison de mode à Paris, le groupe français casse les codes des stratégies qui prévalaient jusqu’alors dans le secteur du luxe.
Hajer Kefi, PSB Paris School of Business dan Daniel Maar, PSB Paris School of Business
Le changement du marché du luxe, porté par plusieurs tendances de fond comme l’importance croissante des « millennials », contraint les marques à revoir leurs pratiques.
Sacs à main, montres… De plus en plus de produits de luxe sont proposés à la location pour répondre à une nouvelle demande. Ce qui n’est pas sans conséquence pour les marques.
La laïcité a, historiquement, plus à voir avec des révoltes contre l’exploitation des peuples, les inégalités et les injustices, que le seul retrait du religieux par rapport au politique.
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)