Les résultats des européennes en Allemagne ont été très contrastés : le parti d’extrême droite AfD est arrivé en première position en ex-RDA, et seulement en quatrième dans l’ouest du pays.
La droite radicale progresse au Parlement européen, mais les partis historiques PPE et PSE continuent de le dominer et devraient reconduire Ursula von der Leyen à la tête de la Commission.
Le grand parti de droite allemand est en tête des sondages pour les européennes, devançant l’AfD… au prix d’une droitisation de son discours, notamment sur la question migratoire.
La Bavière est agitée, à la veille des élections régionales du 8 octobre prochain, par une polémique liée à un tract antisémite rédigé par l’un de ses leaders dans sa jeunesse.
Ce mouvement hétérogène classé à l’extrême droite, où l’on retrouve des monarchistes, des révisionnistes et divers complotistes, aurait cherché à réaliser un coup d’État en Allemagne.
Le nouveau chancelier de l’Allemagne, le social-démocrate Olaf Scholz, va à bien des égards placer son action dans la continuité de celle d’Angela Merkel, à qui il vient de succéder.
Analyse des principaux enjeux de ces élections législatives qui, quoi qu’il arrive, resteront dans l’histoire allemande comme les premières de l’après-Angela Merkel.
Résultats d’une enquête comparative mesurant l'impact de la crise sanitaire et économique sur les droites national-populistes en Allemagne, France, Italie et Suisse ainsi qu’aux États-Unis.
Le complotisme n’est évidemment pas né avec les réseaux sociaux et de Donald Trump. Relire certains penseurs comme Michael Walzer permet d’éclairer utilement ce phénomène.
En dépit des apparences, la montée en puissance de nombreuses thématiques chères aux partis d’extrême droite ou gauche ne semble pas leur bénéficier particulièrement en temps de crise.
En Allemagne, où l’extrême droite progresse, la question de la commémoration du 8 mai 1945 et, plus largement, de la perception de la Seconde Guerre mondiale, n’est pas tranchée au niveau national.
La montée en puissance de l’extrême droite en Allemagne s’explique aussi bien par les difficultés des partis traditionnels que par un contexte économique et social propice à la progression de ses idées.
Le Parti chrétien-démocrate de la chancelière allemande Angela Merkel traverse une crise profonde que la récente démission de sa présidente, Annegret Kramp-Karrenbauer, a encore exacerbée.
Contrairement à ce qui avait parfois été annoncé, le Brexit n’a pas incité les opinions publiques des 27 États membres de l’UE à réclamer un « Exit » de leur propre pays. Au contraire, même.
Les élections régionales qui viennent de se tenir dans trois Länder d’Allemagne de l’Est, marquées par les scores élevés de l’extrême droite, ont reflété le désarroi des anciens « Ossies ».
De quoi parle-t-on exactement quand on parle du populisme ? Ce concept n’en dit-il pas davantage sur ceux qui l’emploient que sur ceux qu’ils désignent ?
Le nationalisme progresse en Europe, où de nombreux partis politiques sont hostiles à l’immigration. Mais quel rôle joue-t-elle dans leur succès ? La recherche met en évidence des nuances inattendues.
Si l’appel de Christchurch marque une nécessaire prise de conscience des États et des entreprises, il semble ignorer un certain nombre de problèmes structurels inhérents au fonctionnement d'Internet.