L’intersectionnalité des haines, qui allie notamment racisme, antisémitisme et misogynie, conduit l’homme blanc hétérosexuel à se croire une victime des « minorités » contre lesquelles il doit résister.
Les comptables ont provoqué la chute d’Al Capone et le scandale du Watergate a été révélé lorsque les journalistes ont « suivi l’argent ». Vont-ils aussi faire tomber Donald Trump ?
Dominée par les conservateurs, la Cour suprême emploie de plus en plus ses prérogatives pour favoriser le Parti républicain lors des élections, locales comme nationales.
Quel que soit son candidat en 2024, le Parti républicain fera sans doute campagne sur une ligne ultra-radicale, à même d’ébranler les fondements mêmes de la démocratie américaine.
Donald Trump vient d’annoncer sa candidature à l’élection présidentielle de 2024. De nombreux aspects indiquent qu’elle ne sera sans doute pas couronnée de succès.
Si les résultats des midterms sont encore partiels, quelques dynamiques fortes se dégagent et permettent de tirer plusieurs enseignements pour les deux dernières années du mandat de Joe Biden.
Démocrates et Républicains affirment que la victoire du camp adverse aux midterms représentera tout simplement la fin de la démocratie américaine. Qu’est-ce qui explique un tel maximalisme ?
L’Ukraine a dernièrement subi plusieurs cyberattaques de grande ampleur. L’un des avantages que présente le recours à ce type d’agression, c’est qu’il est très difficile de remonter à sa source…
Sophie Marineau, Université catholique de Louvain (UCLouvain)
La Russie est souvent accusée d’être derrière les cyberattaques visant des entreprises et des infrastructures américaines. Ce sujet a été l’un des grands thèmes de la récente rencontre Biden-Poutine.
Anne E. Deysine, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Otage de la guerre que se livrent en son sein les pro-Trump et ceux qui veulent se démarquer de l’héritage de l’ex-président, le parti républicain semble voué à sombrer dans une surenchère droitière.
Ils ont écrit leurs mémoires, fondé des œuvres charitables, construit des bibliothèques… voici ce qu’ont fait d’anciens présidents après leur départ de la Maison Blanche. À quoi s’occupera Trump ?
L’analyse textuelle du discours d’investiture de Joe Biden révèle les principaux axes de sa communication à venir, qui sera marquée par une nette rupture avec celle de son prédécesseur.
Après avoir vécu quatre années tumultueuses sous Donald Trump, les États-Unis ont maintenant un président qui s’engage à plaider pour l’unité et la guérison.
Le débat sur le collège électoral oppose ceux qui souhaitent un président choisi selon le vote populaire à ceux qui pensent que les intérêts des petits et des grands États doivent être équilibrés.
On lit souvent que la capacité de Joe Biden à gouverner dépendra de l’issue de la double élection à venir en Géorgie, qui déterminera la couleur politique du Sénat. La réalité est plus nuancée.
Donald Trump a récolté plus de 30 % du vote latino lors de la dernière présidentielle. Un score important qui ne constitue pas pour autant une percée spectaculaire et s’explique par plusieurs facteurs.
Durant la campagne présidentielle, Joe Biden a usé de sa foi à des fins électoralistes. Cette stratégie n’est pas nouvelle. Elle remonte aussi loin qu’au pape Grégoire XIII !
Professeur émérite juriste et américaniste, spécialiste des États-Unis, questions politiques, sociales et juridiques (Cour suprême), Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Analyste en géopolitique, membre associé au Laboratoire de Recherche IAE Paris - Sorbonne Business School, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, chaire « normes et risques », IAE Paris – Sorbonne Business School