L’électricité produite par les barrages représente 12 % de notre production et qui dit sécheresse dit moins d’eau et donc moins d’énergie produite.
Les berges des zones humides sont souvent colonisées par une végétation émergente qui est progressivement remplacée par une végétation flottante et submergée lorsque l'eau atteint une plus grande profondeur.
(Lars L. Iversen)
La pollution urbaine et agricole, la construction de barrages et les sécheresses menacent la survie des plantes aquatiques, qui sont essentielles à la vie dans les rivières, les lacs et les zones humides.
Le glacier du Rhône, situé dans le canton du Valais en Suisse, là où le fleuve prend sa source.
Jean-Christophe Wüthrich/Flickr
Ressource et menace à la fois, le Rhône a vu la France et la Suisse tenter depuis le XVIIIᵉ siècle de dresser des frontières immuables entre lui et les terres… sans grand succès.
Les conséquences de l'effondrement du barrage de Brumadinho, qui a eu lieu le 25 janvier 2019 dans l'État de Minas Gerais, au Brésil.
Vinícius Mendonça/Ibama
Le stockage de l’eau dans des réservoirs est aujourd’hui la principale réponse aux sécheresses : elle n’est pourtant pas toujours efficace voire peut accroître la dépendance à l’eau.
La crue de fin octobre 2018 est la quatrième plus importante depuis l’acqua granda de 1966, qui avait inondé la ville tout entière.
Nullplus/Shutterstock
Le projet Mose, qui entend protéger Venise de la montée du niveau de la mer, n’apporte pas une réponse adéquate et pourrait bien n’avoir aucun impact positif à long terme.
La multiplication des ouvrages hydroélectriques en Afrique sub-saharienne a vu l’inquiétante augmentation des cas de paludisme dans les zones avoisinantes.