La complexité du marché financier dépasse les capacités de traitement de l’information de la cognition humaine.
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Malgré ses intentions de 2017, le président a échoué à déployer la pensée complexe dans son exercice du pouvoir. Ce principe sera-t-il remis au cœur de sa « méthode refondée » promise le 24 avril ?
Perte de liberté, inégalités… Les maux engendrés par la crise du Covid sont des problèmes éternels de l’humanité. Les réponses à y apporter dépendent cependant toujours de circonstances inédites.
Notre volonté illusoire de vivre dans un environnement sécurisé et pacifié peut nous conduire à souhaiter plus de contrôle des organisations. Une réponse à la complexité qui n’est pas sans risque…
Le Japonais Maki Kaji, qui a popularisé le jeu, vient de disparaître. Il lègue un outil précieux pour développer l'intelligence stratégique, l’un des principes de la pensée complexe.
Et si vous (re)lisiez Edgar Morin cet été ? L’architecte de la pensée complexe nous invite à vivre poétiquement et à résister à toute forme de domination.
On pourrait penser l’IA infaillible. Pourtant ces programmes sont conçus pour simplifier des problèmes complexes et donner des résultats satisfaisants mais inexacts.
Aussi soudaine qu’inédite, la crise que nous traversons interroge la pertinence de la prévision économique et invite les experts à faire preuve d’une grande humilité.
En décidant, nous contribuons tous à fabriquer le réel. Cette affirmation pose des questions éthiques notamment en période de crise sanitaire.
L’action comporte trois étapes : la formation du jugement, l’arrêt de la décision puis sa mise en œuvre. Cela suppose d’apprendre à bien poser les problèmes.
Cette discipline analyse les relations entre une hypothèse qui s’est réalisée et les éléments qui ont amené à cette prédiction. « Le monde en 2035 vu par la CIA » est en ce sens riche d’enseignement.
Porter un projet, ce n’est pas seulement maîtriser les outils et la méthodologie, c’est faire face aux montagnes russes opérationnelles et émotionnelles indissociables de la démarche entrepreneuriale.
S’intéresser aux effets plutôt qu’aux causes démultiplie le champ des possibles lorsqu’il s’agit de s’attaquer à un problème complexe.
À partir de l’exemple du véhicule autonome, revue critique de nos tentatives de réduire le réel pour le rentrer dans les systèmes.
Des économistes de l’EDHEC soulignent les erreurs de calibrage qui nuisent à l’efficacité de ce dispositif de soutien public à la R&D privée.
Certains facteurs comportementaux ont contribué au bilan décevant du CICE. Il existait pourtant des outils pour contourner les biais psychologiques chez les chefs d’entreprise.
Maîtriser la pensée complexe peut devenir une véritable aide à la décision dans un grand nombre de contextes, dont bien entendu l’entreprise. Voici quelques clés pour s’y mettre.
Top contributors
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Professeur en management, titulaire de la chaire Edgar Morin de la complexité, ESSEC
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Doctorant en stratégie et théorie des organisations, Université de Montpellier
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Professeur en économie comportementale, Burgundy School of Business
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Enseignant chercheur en cognition entrepreneuriale chez SKEMA Business School, SKEMA Business School
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Professeur - Expert-comptable, Burgundy School of Business
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Chercheuse associée, spécialisée en Entrepreneuriat et Innovation, Burgundy School of Business
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Professeur, EM Lyon Business School
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Professeur en informatique, Université Paris-Saclay
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Enseignant-Chercheur en Economie (Inseec) / Pr. associé (U. Paris Saclay) / Chercheur associé (CNRS), INSEEC Grande École
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Chercheur / Docteur en psychologie de la décision Ph. D., Université Laval
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Economiste, EDHEC Business School
