Franck Montmessin, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Des résultats récents permettent de comprendre comment l’eau disparaît de la planète rouge. Un potentiel climat chaud et humide dans le passé aurait pu favoriser l’apparition de la vie.
Quand notre corps est en situation d’impesanteur, comme un astronaute dans la station internationale, notre cerveau est totalement chamboulé, et il lui faut du temps pour s’adapter.
Charles Yana, Centre national d’études spatiales (CNES)
Prouesse technique extraordinaire : enfouir un câble sur Mars, en pilotant un robot à des millions de kilomètres, et en bonus, une technique pour nettoyer les panneaux solaires a été inventée.
Volcan ou ancien océan ? Avant d’aller sur Mars, il faut choisir soigneusement sa destination en s’aidant de ce que l’on sait déjà et ce que l’on ignore de la planète rouge.
L’exploitation minière de l’espace est peut-être plus proche que vous ne le pensez. Mais il est urgent de régler les questions juridiques relatives à la propriété des ressources spatiales.
Dans l’espace, l’absence de gravité a de fortes conséquences sur l’organisme des astronautes, mais ce n’est pas le seul effet dont il faut protéger les êtres vivants dans l’espace.
L’astronaute Story Musgrave a essayé d’expliquer comment son corps habitait l’espace, l’apesanteur, le noir, l’infini, la lumière. Mais est-ce seulement possible ?
Sylviane Chabli, Grenoble École de Management (GEM) and Mark Smith, Grenoble École de Management (GEM)
L’ESA a lancé un programme pour recruter astronautes en situation de déficience physique. Un signal fort qui peut contribuer plus globalement à changer la perception des entreprises sur ce sujet.
André Debus, Centre national d’études spatiales (CNES) and Benoît Tonson, The Conversation France
Seul sur Mars, Perseverance, guidé depuis la Terre, est en train de finaliser tous les contrôles pour vérifier que chaque instrument fonctionne correctement.
Pierre Omaly, Centre national d’études spatiales (CNES)
Un satellite russe a été détruit par un tir de missile, générant de nombreux débris qui rejoignent les dizaines de milliers déjà en orbite autour de la Terre.
L’échec de la découverte de la vie sur Mars nous permettrait de mieux comprendre comment la vie sur la Terre s’est formée et quels sont les ingrédients essentiels nécessaires à cette vie.
Professeur des Universités, Exobiologiste au Laboratoire Atmosphères Modélisaton et Observations Spatiales (LATMOS), Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay