L’auteur des « Misérables » imaginait une taxe publique pour faire usage d’une œuvre dès la mort de son créateur, conciliant les intérêts de la société avec ceux des héritiers bénéficiaires.
La Cour suprême pourrait avoir à décider s’il faut invalider l’interdiction de l’assurance privée et de la surfacturation pour les services médicaux en raison d’une atteinte aux droits fondamentaux.
La gratuité est devenue l’un des sujets majeurs des débats portant sur les politiques publiques de mobilité à l’échelle locale. Elle se trouve aujourd’hui au cœur de controverses très vives.
Les spécificités du système de santé freinent l’efficacité des « carottes » employées aux États-Unis ou au Royaume-Uni pour convaincre ceux qui hésitent à recevoir l’injection..
Les jeunes consommateurs hyperconnectés attendent notamment des marques qu'elles mettent à disposition plus d'informations sur l'empreinte écologique des produits.
C'est dans la boîte N.14 : Fornite est-il un jeu d'argent ?
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Le jeu vidéo phénomène tire une partie de ses (importants) revenus des « loot box », des « pochettes surprises » numériques payantes. Mais est-ce légal ? Certains pays estiment que non.
S’il n’est pas question ici de remettre en cause la propriété, il est essentiel de s’attarder sur les dérives d’une privatisation globale et regarder de plus près les tentatives du tout-gratuit.
Privatiser les routes nationales et installer des péages : la mesure rompt brutalement avec la conception du contrat social rousseauiste aux fondements de la France moderne.
Presque un spectateur sur deux se déplacerait sur les étapes avant tout pour plonger dans ce grand bain publicitaire, dont le succès repose sur le principe de la gratuité.
Les offres de produits et de services gratuits se multiplient. « There is no such thing as a free lunch », dit l’adage américain. Peut-on réellement parler de gratuité dans la sphère économique ?
Les Canadiens ont une confiance relativement élevée dans leurs médias comparativement à d'autres pays, mais cela ne signifie pas qu'ils veulent payer pour leurs nouvelles.
Les leaders de la publicité en ligne – Google et Facebook – prennent notre information de vitesse tandis que s’inventent de nouveaux infomédiaires plus respectueux de notre attention.
Certes les éditeurs ne font pas toujours leur travail. Mais les chercheurs eux-mêmes, par leurs motivations affichées ou cachées, ont une grosse responsabilité.
Les éditeurs scientifiques et techniques font-ils vraiment leur travail de diffuseurs de la connaissance ? Pas sûr. Et si la solution passait par une diffusion gratuite des savoirs ?
Directeur général de l'ISCID-CO International Business School, Université du Littoral Côte d'Opale, Chercheur au LEM (UMR CNRS 9221), Université de Lille
Avocat, enseignant et chercheur associé en droit et politiques de la santé / Lawyer, lecturer and research associate in Health Law and Policy, Université de Sherbrooke