Les joueurs de rugby subissent souvent des blessures aux ischio-jambiers. De nouveaux travaux indiquent que cette susceptibilité pourrait avoir une double origine.
L'introduction du break-dance aux JO de Paris 2024 invite à penser les liens entre la danse et le sport. Dans l'Antiquité, ces disciplines étaient souvent indissociables.
Faire de l’exercice physique 150 minutes par semaine serait environ 1,5 fois plus efficace contre la dépression que les médicaments ou la thérapie cognitivo-comportementale.
L’organisation des Jeux olympiques peut-elle être un levier pour lutter contre la sédentarité des élèves ? C’est dans cet esprit qu’a été lancé le dispositif « 30 minutes d’activité physique par jour ».
La compétition permettra-t-elle à la France d’améliorer son image, et le rugby peut-il à cette occasion séduire les nombreux pays pour lesquels il reste encore un sport largement méconnu ?
Il est bien établi que l'activité physique régulière est bonne pour la santé. Mais attention à ne pas faire n'importe quoi, car dans certains cas, exercice trop intense peut rimer avec infarctus.
Pour faire de l’égalité entre filles et garçons une réalité sans condition, ne faudrait-il pas penser un modèle sportif reposant sur la coopération et la mixité plus que sur la compétition ?
La Coupe du monde de rugby 2023, qui a lieu en France, promet de battre des records d’audience. Qu’est-ce que l’engouement pour ce sport à la violence très encadrée dit de notre rapport à celle-ci ?
Le sport est-il éthique en soi ? L’héritage des JO se réduit-il à un exercice de communication ? Que signifie même le terme « sport » ? Réflexions sur un fait social total.
Est-il possible d’estimer l’équilibre et l’incertitude d’une compétition sportive ? Et si oui, quels enseignements peut-on tirer de la Coupe du Monde des femmes qui vient de prendre fin ?
Et si les sciences permettaient aux nageurs de gagner les quelques fractions de seconde qui feront la différence entre la médaille d’or et une place anecdotique ?
D’après une étude, la presse écrite dite « jeunesse » tend à présenter le football comme un loisir masculin, contribuant ainsi à perpétuer les stigmatisations traditionnelles entourant ce sport.
Une étude conduite dans les Hauts-de-France auprès de 99 clubs amateurs permet de mieux comprendre les différentes approches qu’ont les clubs à l’égard du football féminin.
Le développement du football féminin français doit concerner tous les niveaux, des clubs amateurs à la Division 1, dont la professionnalisation a pris trop de retard.
Les développeurs rivalisent de stratégies de « ludification » pour inciter les usagers à livrer des informations qui seront ensuite revendues aux annonceurs.
La Coupe du monde féminine de 2023 est sans doute la meilleure en termes de niveau sportif, d'investissements et d'audience. Mais l'équité et la reconnaissance ne sont pas encore au rendez-vous.
Docteur en Études slaves contemporaines : spécialiste de la géopolitique de la Russie et du sport, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Professeur des Universités en Physiologie de l'Exercice / Neurosciences Intégratives, Directeur Unité Recherche EuroMov Digital Health in Motion, Université de Montpellier