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Articles on végétation

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Quelles stratégies peut-on recommander pour rendre les forêts plus résilientes et mieux adaptées à ce nouveau climat? (Claude Villeneuve)

Peut-on mettre la forêt boréale au service de la lutte aux changements climatiques ?

Planter des arbres peut-il nous aider à résoudre la crise climatique ? Sans doute, mais jusqu’à quel point ?
Des températures plus chaudes pourraient allonger la saison de croissance des arbres et, conséquemment, augmenter leur taux de croissance. (Shutterstock)

Le changement climatique rend les arbres plus grands, mais plus faibles

Une augmentation de la période de croissance des arbres, en raison du réchauffement planétaire, ne correspond pas nécessairement à une plus grande production de biomasse de bois.
Image satellite d’un feu de forêt en juillet 2021 au Nord du Saskatchewan (Wapawekka Hills). L'image correspond à une zone d’environ 56 kilomètres de large et a été réalisée à partir de la base de données Copernicus Sentinel. (Pierre Markuse), CC BY 2.0

Les forêts boréales nord-américaines brûlent beaucoup, mais moins qu’il y a 150 ans

Les forêts boréales Nord-américaines brûlent beaucoup, sûrement de plus en plus depuis les 60 dernières années. Pourtant, la tendance à long terme indique qu’elles brûlent moins qu’il y a 150 ans.
Les berges des zones humides sont souvent colonisées par une végétation émergente qui est progressivement remplacée par une végétation flottante et submergée lorsque l'eau atteint une plus grande profondeur. (Lars L. Iversen)

Les plantes aquatiques, trésors cachés trop souvent oubliés

La pollution urbaine et agricole, la construction de barrages et les sécheresses menacent la survie des plantes aquatiques, qui sont essentielles à la vie dans les rivières, les lacs et les zones humides.
En septembre 2022, sol brûlé à quelques dizaines de kilomètres de Bordeaux. Philippe LOPEZ/AFP

Les « forêts » de pins maritimes d’Aquitaine, des nids à incendie ?

Vaste territoire sylvicole hautement inflammable, les plantations de pins maritimes du Sud-Ouest de la France doivent évoluer pour faire face aux dérèglements climatiques.
Selon les variétés, les agrumes disposent de mécanismes de protection face aux sécheresse plus ou moins performant. Akaranan/Shutterstock

Comment améliorer la résilience à la sécheresse : l’exemple des agrumes

La hausse des épisodes de sécheresse met la végétation à rude épreuve. Par quels mécanismes peuvent-elles résister ? L’exemple des agrumes, dont certaines variétés sont particulièrement résistantes.
Le gobie à taches noires est un poisson envahissant qui s’est établi et répandu dans le fleuve Saint-Laurent au cours des deux dernières décennies à la suite de son introduction dans les Grands Lacs. (Cristina Charette)

Des zones du fleuve Saint-Laurent défavorables à la survie des espèces envahissantes deviennent des refuges pour les poissons indigènes

La relation entre la conductivité et l’abondance du gobie à taches noires, espèce envahissante, et les impacts écologiques qui y sont associés, représente un outil simple d’évaluation des risques.
Fourmi du genre Messor transportant une graine. Renaud Jaunatre, IMBE

Restaurer la nature, un travail de fourmis ?

Après la marée noire dans la plaine de la Crau, en 2009, des fourmis ont été introduites dans les sols pour restaurer les écosystèmes du site pollué. Des premiers résultats prometteurs.
Une grande part des revêtements urbains accentue la hausse des températures. Tricky Shark/Shutterstock

Canicule et urbanisme : arrêtons de densifier nos villes !

Si la densification des zones urbaines vise à préserver les espaces naturels, ses effets sont extrêmement néfastes lors des épisodes caniculaires, amenés à se multiplier.
Qui pour aller récolter les clochettes du 1er mai dans les bois cette année ? C.Réveillard/MNHN

Confinement en ville : pourquoi l’accès à la nature est tout simplement vital

Si le temps inédit du confinement est propice au déconfinement d’espèces animales et végétales, il a des effets sociétaux et psychologiques néfastes sur les citadins en les coupant de la nature.
Un hôtel abandonné dans la ville ukrainienne de Pripyat, à quelques kilomètres de Tchernobyl. Shutterstock

Pourquoi les plantes ne meurent pas de cancer

La plupart de la vie végétale a survécu à la catastrophe nucléaire de Tchernobyl. Les plantes sont plus flexibles et s'adaptent beaucoup mieux que les animaux aux événements extérieurs.

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