Pour la première fois, les zones de France continentale où les populations sont les plus exposées à la chaleur, la pollution de l'air et au manque de végétation ont été cartographiées finement.
Claude Villeneuve, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC); Charles Marty, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC); Maxime Paré, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC), and Patrick Faubert, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC)
Planter des arbres peut-il nous aider à résoudre la crise climatique ? Sans doute, mais jusqu’à quel point ?
Roberto Silvestro, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) and Sergio Rossi, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC)
Une augmentation de la période de croissance des arbres, en raison du réchauffement planétaire, ne correspond pas nécessairement à une plus grande production de biomasse de bois.
Victor Danneyrolles, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC); Raphaël Chavardès, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT), and Yves Bergeron, Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT)
Les forêts boréales Nord-américaines brûlent beaucoup, sûrement de plus en plus depuis les 60 dernières années. Pourtant, la tendance à long terme indique qu’elles brûlent moins qu’il y a 150 ans.
La pollution urbaine et agricole, la construction de barrages et les sécheresses menacent la survie des plantes aquatiques, qui sont essentielles à la vie dans les rivières, les lacs et les zones humides.
Vaste territoire sylvicole hautement inflammable, les plantations de pins maritimes du Sud-Ouest de la France doivent évoluer pour faire face aux dérèglements climatiques.
La hausse des épisodes de sécheresse met la végétation à rude épreuve. Par quels mécanismes peuvent-elles résister ? L’exemple des agrumes, dont certaines variétés sont particulièrement résistantes.
La relation entre la conductivité et l’abondance du gobie à taches noires, espèce envahissante, et les impacts écologiques qui y sont associés, représente un outil simple d’évaluation des risques.
Après la marée noire dans la plaine de la Crau, en 2009, des fourmis ont été introduites dans les sols pour restaurer les écosystèmes du site pollué. Des premiers résultats prometteurs.
Serge Muller, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Tout cet été, The Conversation France vous emmène battre le pavé des villes à la découverte d’arbres peu connus. Aujourd’hui, « Catalpa bignonioides ».
Si la densification des zones urbaines vise à préserver les espaces naturels, ses effets sont extrêmement néfastes lors des épisodes caniculaires, amenés à se multiplier.
Si le temps inédit du confinement est propice au déconfinement d’espèces animales et végétales, il a des effets sociétaux et psychologiques néfastes sur les citadins en les coupant de la nature.
Contrairement à ce que l’on pourrait croire, les forêts de haute altitude connaissent elles aussi un risque accru d’incendies dans le contexte du changement climatique.
La plupart de la vie végétale a survécu à la catastrophe nucléaire de Tchernobyl. Les plantes sont plus flexibles et s'adaptent beaucoup mieux que les animaux aux événements extérieurs.
Directeur de recherches au CNRS en ingénierie écologique, Université d’Avignon, Institut méditerranéen de la biodiversité et d’écologie marine et continentale (IMBE), Aix-Marseille Université (AMU)
Doctorante en épidémiologie à Santé publique France et à l’Inserm, associée au Réseau doctoral en santé publique coordonné par l’École des hautes études en santé publique (EHESP), Inserm