Les berges des zones humides sont souvent colonisées par une végétation émergente qui est progressivement remplacée par une végétation flottante et submergée lorsque l'eau atteint une plus grande profondeur.
(Lars L. Iversen)
La pollution urbaine et agricole, la construction de barrages et les sécheresses menacent la survie des plantes aquatiques, qui sont essentielles à la vie dans les rivières, les lacs et les zones humides.
La perte progressive des poils du corps a permis aux ancêtres de l'homme de chasser plus facilement dans la chaleur.
Vaste territoire sylvicole hautement inflammable, les plantations de pins maritimes du Sud-Ouest de la France doivent évoluer pour faire face aux dérèglements climatiques.
Selon les variétés, les agrumes disposent de mécanismes de protection face aux sécheresse plus ou moins performant.
Akaranan/Shutterstock
La hausse des épisodes de sécheresse met la végétation à rude épreuve. Par quels mécanismes peuvent-elles résister ? L’exemple des agrumes, dont certaines variétés sont particulièrement résistantes.
Autour d'une souche brulée, la vie reprend en couronne dans le massif des Maures.
Romain Garrouste, MNHN
Les mégafeux de l’an dernier dans le Var ont laissé des conséquences importantes, mais la végétation repart.
Le gobie à taches noires est un poisson envahissant qui s’est établi et répandu dans le fleuve Saint-Laurent au cours des deux dernières décennies à la suite de son introduction dans les Grands Lacs.
(Cristina Charette)
La relation entre la conductivité et l’abondance du gobie à taches noires, espèce envahissante, et les impacts écologiques qui y sont associés, représente un outil simple d’évaluation des risques.
Une bergerie de la plaine de Crau, datant du XIXe siècle et encore exploitée.
Lionel Roux/Maison de la transhumance
Après la marée noire dans la plaine de la Crau, en 2009, des fourmis ont été introduites dans les sols pour restaurer les écosystèmes du site pollué. Des premiers résultats prometteurs.
Serge Muller, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Tout cet été, The Conversation France vous emmène battre le pavé des villes à la découverte d’arbres peu connus. Aujourd’hui, « Catalpa bignonioides ».
L’ombrage des mûriers blancs dans la rue du Commandeur, à Paris (XIVe).
Serge Muller/MNHN
Si la densification des zones urbaines vise à préserver les espaces naturels, ses effets sont extrêmement néfastes lors des épisodes caniculaires, amenés à se multiplier.
Qui pour aller récolter les clochettes du 1er mai dans les bois cette année ?
C.Réveillard/MNHN
Si le temps inédit du confinement est propice au déconfinement d’espèces animales et végétales, il a des effets sociétaux et psychologiques néfastes sur les citadins en les coupant de la nature.
Depuis le début de l’année, 12 millions d’hectares de forêts sont partis en fumée en Sibérie.
Ekaterina ANISIMOVA / AFP
Contrairement à ce que l’on pourrait croire, les forêts de haute altitude connaissent elles aussi un risque accru d’incendies dans le contexte du changement climatique.
Un hôtel abandonné dans la ville ukrainienne de Pripyat, à quelques kilomètres de Tchernobyl.
Shutterstock
La plupart de la vie végétale a survécu à la catastrophe nucléaire de Tchernobyl. Les plantes sont plus flexibles et s'adaptent beaucoup mieux que les animaux aux événements extérieurs.
Directeur de recherches au CNRS en ingénierie écologique, Université d’Avignon, Institut méditerranéen de la biodiversité et d’écologie marine et continentale (IMBE), Aix-Marseille Université (AMU)