Pour l’autrice de « Dix petits nègres », qui publiait son premier roman il y a 100 ans, le crime reste un choix délibéré et résulte d’un calcul rationnel coût-bénéfice.
Les privations imposées à nos libertés pendant le confinement auraient-elles permis une prise de conscience des inégalités et injustices inhérentes à nos sociétés ?
La crise remet sur le devant de la scène l’importance de la responsabilité sociale des entreprises, reflet des attentes voire des exigences, et des motivations de leurs parties prenantes.
Alors que nous n’avons jamais été aussi enjoints à respecter l’autre, il devient crucial de nous réconcilier avec cette notion et de l’appréhender au niveau éthique.
Comment clarifier la relation complexe entre scientifique et politique ? Max Weber et André Comte-Sponville peuvent éclairer notre compréhension sur ce qui différencie fondamentalement ces postures.
S’il n’est pas possible d’empêcher certaines personnes d’identifier des boucs émissaires, il est fondamental de limiter la portée de ces comportements antisociaux, voire destructeurs.
Les études permettent de dégager certains grands principes, comme confronter l’individu à sa propre image ou encore lui donner du temps pour qu’il réfléchisse aux conséquences de ses décisions.
Devenue concept valise, souvent synonyme de moralité, l’empathie est présentée comme condition nécessaire et suffisante à l’altruisme et à l’harmonie sociale.
Embryons et fœtus ne sont pas des personnes pour le droit français, c’est la naissance qui détermine la possession de ce statut. Pourquoi en est-il ainsi ?
Emmanuel R. Goffi, Institut libre d'étude des relations internationales (ILERI)
Comparer l’éthique du sacrifice religieux du terroriste et le sacrifice suprême du militaire peut paraître incongrue, si ce n’est choquant. Et pourtant des traits communs surgissent.
Moralscore.org, une start-up qui propose de banaliser l’éthique comme critère de choix interroge la place des industriels dans la transition alimentaire.
Les règles éthiques et la morale ne sont pas semblables partout dans le monde. Comment faire, alors, pour régler la conduite des véhicules autonomes en cas de choix cornélien ?
Même dans des sociétés fortement déchristianisées, ce qui compte, du moins au plan moral, ce n’est pas combien l’on donne mais surtout pourquoi, et comment.