Si les jeunes apprécient de se retrouver entre amis dans les fast-foods, ils font aussi partie d’une génération soucieuse de l’environnement, ce qui fait émerger de nouvelles habitudes alimentaires.
Élodie Gentina (IÉSEG School of Management) a étudié la génération Z dans 12 pays d’Asie. Elle vous fait découvrir ce qui caractérise aujourd’hui les jeunes Japonais, Chinois et Indiens.
L’éducation des jeunes indiens leur permet de s’épanouir et malgré des inégalités persistantes, leurs habitudes de consommation évoluent, notamment vers le numérique.
La politique de l’enfant unique et la culture traditionnelle rendent les parents chinois très exigeants envers leurs enfants, qui tendent aujourd’hui à se réfugier dans le numérique.
Si, presque partout dans le monde, les jeunes nés après 1997 partagent un intérêt pour certaines grandes marques, ils ne constituent pas une cible homogène pour les marketeurs.
Recruter la nouvelle génération de diplômés constitue la meilleure décision pour les entreprises. Mais la crise ne les exonèrera pas de la question du sens et de l’impact sociétal des emplois.
Selon une étude, les contributions des « digital natives » qui présentent des besoins d’assimilation et de différenciation sociale peuvent s’avérer particulièrement précieuses.
Les réticences des baby-boomers face à l’urgence climatique pourraient être levées par des actions de sensibilisation davantage centrées sur ce qu’ils laisseront à leurs propres descendants.
L’étude des caractéristiques prêtées aux générations Y ou Z laisse penser que les différences avec leurs aînés, largement exagérées, servent avant tout des intérêts bien précis…
L'industrie du luxe va bien, et 2017 a été l'année de tout les records. Pour continuer sur cette lancée, les marques vont devoir faire évoluer leurs stratégies. Quels seront les facteurs du succès ?
Les baby-boomers sont désormais à la retraite. L’identité générationnelle de leurs successeurs s’est renforcée, jusqu’à l’arrivée de l’iconoclaste génération Z. Plus dure à manager que ses aînées ?
L’émergence du numérique bouleverse les rapports privés ou professionnels. Férues de digital, les nouvelles générations ont beaucoup à apporter aux organisations. Il faut juste savoir leur parler.
En ces périodes de forte dissonance entre Millennials et « ceux qui étaient là avant », la nécessité d’imaginer des modes d’intercompréhension et d’interactions créatrices devient stratégique.
La réponse à la question : « faut-il adapter les pratiques de travail aux Millénials ? » semble évidente. Exploration de ses implications dans le cas des cabinets de conseil.