La gestion de l’incertitude Brexit fournit un cas d’étude intéressant, l’organisation UE étant à la fois en partie responsable et victime de l’incertitude et du risque observés.
Les autorités françaises ont décidé de démanteler le camp de fortune, surnommé « la jungle ». Une décision qui ne dissuadera en rien les migrants de revenir. D’autres solutions existent.
Des horaires plus libres et une plus grande autonomie dans le travail ne sont pas forcément garants d'un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie privée.
Après le vote du Royaume-Uni en faveur du Brexit s’ouvre la phase de la délicate négociation menée par Michel Barnier côté UE. Quelle ambition cache cette nomination ?
Drapeaux palestiniens dans les tribunes, de la droite extrême israélienne dans d’autres. Ce qui est considéré comme choquant par l’UEFA en dit long sur la dissymétrie de traitement politique.
Analyse de la popularité et du déclin du concept de capital social de Robert Putnam, à la lumière des évolutions politiques en Grande-Bretagne où l’idée s’est implantée.
Le Brexit, un choc politique et peut-être demain un choc commercial. À l’heure du célèbre TAFTA ou TTIP, comment l’Europe poursuivra-t-elle sa politique commerciale sans le Royaume-Uni ?
Diana Cooper-Richet, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Près de 400 000 Britanniques se sont installés dans l’Hexagone au cours des dernières décennies. Qu’adviendra-t-il d’eux une fois le processus de sortie de l’UE enclenché ?
Avant d’être le premier ministre du Brexit, David Cameron fut celui qui tenta de moderniser la société et la politique britanniques. Et poussa la démocratie participative vers les rives du populisme.
Theresa May vient de prendre les rênes du pays qui, depuis le Brexit, est entré dans une zone grise où l’ancien ordre est en train de mourir alors que le nouveau n’a pas encore émergé.
L’UE ne peut rayer la langue anglaise d’un trait de plume comme on liquide une communauté de biens. Pour l’Europe et au-delà, l’anglais représente plus que le bien symbolique d’un peuple.
Le chaos qui règne outre-Manche va dissuader les dirigeants politiques des pays européens de s’engager dans un référendum qui risquerait de remettre en cause leur carrière.
Entre l’accord du 23 juin 1971 sur l’adhésion du Royaume-Uni dans la CEE et le référendum sur l’UE du 23 juin 2016, deux époques de l’histoire politique britannique et européenne se font face.
En 2005, le référendum français avait eu des allures de vote rétrospectif sur l’élargissement. Celui du 23 juin au Royaume-Uni a notamment visé l’ouverture du marché du travail aux ex-pays de l’Est.
Les Vingt-huit se réunissent à Varsovie vendredi et samedi dans un contexte international très dense : Ukraine, Syrie, lutte contre le terrorisme, Brexit… Saura-t-elle à la hauteur de ces enjeux ?
D’un renseignement défectueux à une organisation désastreuse, en passant par une surveillance lacunaire, la guerre en Irak était un gâchis avant même d’avoir commencé.
Selon Jean-Claude Juncker, le « Brexit » ne sera pas un « divorce à l’amiable ». Le Royaume-Uni restera quoi qu’il en soit très dépendant de l’UE politiquement, économiquement et juridiquement.
Chercheur au Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay