Diana Cooper-Richet, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
De nombreux mineurs, en Chine, en Inde mais aussi aux États-Unis, connaissent aujourd’hui des conditions de travail proches de celles décrites dans les romans de Zola ou de George Sand.
Diana Cooper-Richet, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Exploitation contestée ou clandestine, pollution environnementale, mécanisation, risques sanitaires : dans de nombreux pays, le charbon se trouve au cœur de nombreuses polémiques.
Outre-Atlantique, la mise en place de la co-combustion dans les centrales a charbon fait son chemin. Mais les bénéfices de ce développement ne peuvent s’envisager qu’à court terme.
Malgré la volonté de Washington de sortir de l’Accord de Paris, plusieurs États américains se mobilisent pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre.
Problème global, le changement climatique nécessite une coopération de tous les États. C’est ce qui rend la lutte en ce domaine si ardue, comme l’illustrent les discussions de la COP23 à Bonn.
Réunis fin mai à Vienne, les membres de l’OPEP ont tenté à nouveau de soutenir les prix du pétrole. Mais l’offre américaine et une situation géopolitique mondiale confuse compliquent ces efforts.
Du « Sommet de la Terre » à Rio en 1997 au récent retrait de l’Accord de Paris en juin 2017, Washington a toujours traité les négociations climatiques sous l’angle économique.
Si le recul de l’Amérique de Trump en matière de lutte contre le changement climatique envoie un mauvais signal, ses conséquences ne sont peut-être pas aussi néfastes qu’il y paraît.
Depuis son arrivée au pouvoir, l’administration Trump se distingue par une politique de dérégulation qui remet en cause le rôle des États-Unis dans la lutte contre le réchauffement climatique.
La « Marche pour les sciences » qui aura lieu aussi en France demain est l’occasion de rappeler qu’en travaillant à l’avancée des connaissances les scientifiques aident les citoyens.
Marie-Cécile Naves, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
En détricotant les initiatives environnementales de la précédente administration Obama, le président Trump tente de restaurer l’image d’une Amérique virile indifférente aux critiques.
C’était l’une des promesses du candidat Trump : relancer la production dans les mines de charbon pour enrayer la désindustrialisation et créer des emplois. Un programme aussi ambitieux qu’irréaliste.
Le programme énergétique du nouveau locataire de la Maison-Blanche passe par le développement des énergies fossiles. Décryptage de la stratégie pétrolière de Trump.
Nominations controversées, relance du charbon et fin possible du soutien américain à la gouvernance climatique mondiale… Avec Trump, les mauvaises nouvelles s’accumulent pour l’environnement.
Chercheur au Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Professeur senior d’analyse financière, d’audit et de risk management - Directrice de Programme pour le MSc Fashion Design & Luxury Management- Responsable de la spécialisation MBA "Brand & Luxury Management", Grenoble École de Management (GEM)